« Ce qui manque à Benno, c’est Abdoulaye Wade. Il leur faut un leader. Ce qui manque à Benno, c’est ce qui avait permis à la Ca 2000 de gagner », a notamment déclaré M. Camara.
A ses yeux, l’opposition qui avait boycotté les élections législatives a trouvé une tribune aux Assises nationales.
« Faute d’assemblée nationale, l’opposition a initié les Assises nationales. Ils avaient ainsi eu une tribune pour se faire entendre. Ils avaient mis le pouvoir dans une sorte de perplexité ».
Sur un autre volet, Mame Less Camara a analysé le débat soulevé au sein du Ps par Aissata Tall Sall et Khalifa Sall : « Le Ps est en train de titiller ses vieux démons. C’est un parti de chef. Le Ps n’est pas capable d’un débat interne qui permettrait de choisir un leader. Ils n’ont pas cette capacité de débat interne. Il doive éviter de soulever ce débat car c’est une coquetterie politico intellectuelle »
Commentant la revue du code électoral, il déclare: « La presse doit être un facilitateur. Le pouvoir voit la presse comme un œil qui ne se ferme jamais. Il aimerait que la presse dorme un peu. Si en 2000, il y a eu alternance chez parce que les journalistes ont participé à sécuriser le vote. C’est mauvais pour le pouvoir de donner l’impression qu’il veuille tripatouiller le vote. Interdire de publier un document déjà publié, c’est faire naitre un doute raisonnable ».
A ses yeux, l’opposition qui avait boycotté les élections législatives a trouvé une tribune aux Assises nationales.
« Faute d’assemblée nationale, l’opposition a initié les Assises nationales. Ils avaient ainsi eu une tribune pour se faire entendre. Ils avaient mis le pouvoir dans une sorte de perplexité ».
Sur un autre volet, Mame Less Camara a analysé le débat soulevé au sein du Ps par Aissata Tall Sall et Khalifa Sall : « Le Ps est en train de titiller ses vieux démons. C’est un parti de chef. Le Ps n’est pas capable d’un débat interne qui permettrait de choisir un leader. Ils n’ont pas cette capacité de débat interne. Il doive éviter de soulever ce débat car c’est une coquetterie politico intellectuelle »
Commentant la revue du code électoral, il déclare: « La presse doit être un facilitateur. Le pouvoir voit la presse comme un œil qui ne se ferme jamais. Il aimerait que la presse dorme un peu. Si en 2000, il y a eu alternance chez parce que les journalistes ont participé à sécuriser le vote. C’est mauvais pour le pouvoir de donner l’impression qu’il veuille tripatouiller le vote. Interdire de publier un document déjà publié, c’est faire naitre un doute raisonnable ».
Autres articles
-
Rufisque : le budget 2025 de la mairie connaît une baisse de prés de 2 milliards de francs CFA
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,