D’après une enquête menée depuis plusieurs semaines par une équipe du CNC, le capitaine Eugène Ngaïkosset alias le boucher de Paoua, s’est rajoutée de ses activités militaires, le commerce import-export par le truchement d’une de ses copines dénommées Aziza Françoise.
À travers cette dernière, il importe des véhicules d’occasion et des marchandises de l’extérieur sans passer par aucun service de la douane ou celui des impôts, encore moins du commerce, à chaque contrôle, et ce, depuis la frontière jusqu’à Bangui, point de revente. Une exonération fiscalo-douanière auto-instituée et qui lui rapporte plus d’une dizaine de millions de F CFA par trimestre. De quoi à garder sa bouche tranquille. Une bouche pleine ne parle pas.
D’après nos informations, les services de la douane, du commerce et des impôts regardent passer sous leurs yeux et sans regarder les documents tous les deux mois de l’année, les véhicules ou marchandises du business-capi Eugène Ngaïkoisset et sa copine Aziza Françoise. Une pratique que dénoncent certains agents affectés dans le service de contrôle au PK26 .
Un jour, l’un de ces agents a décidé de franchir le pas pour lui exiger de payer des taxes sur ses produits importés. Ainsi, le 20 février dernier, un lot des marchandises du capitaine-businessman Eugène Ngaïkosset est arrivé au PK26, accompagné toujours de madame Aziza, la convoyeuse.
Comme à l’accoutumée, le service de la douane, avait accepté que les marchandises passent après un entretien discret avec le capitaine . Mais le service des impôts et du commerce, sous contrôle de l’agent droit comme disent les autres, a refusé que les marchandises franchissent la barrière sans quittance.
Surpris par l’entêtement de ce dernier, Eugène Ngaïkosset hausse le temps, se vantait de son sobriquet de boucher de Paoua, menaçait de buter l’agent. À la clé, il a récupéré manu militari au bout de tout compte fait, ses marchandises sans débourser une pièce de F CFA qui pourrait symboliser la taxe exigée par l’agent qu’il qualifie de « rebelle et récalcitrant ».
Depuis lors, l’agent rebelle, par mesure de précaution, est muté dans un autre service du ministère des Finances.
Quant au capitaine, il continue son business sans trop se soucier des taxes douanières quelconques.
À travers cette dernière, il importe des véhicules d’occasion et des marchandises de l’extérieur sans passer par aucun service de la douane ou celui des impôts, encore moins du commerce, à chaque contrôle, et ce, depuis la frontière jusqu’à Bangui, point de revente. Une exonération fiscalo-douanière auto-instituée et qui lui rapporte plus d’une dizaine de millions de F CFA par trimestre. De quoi à garder sa bouche tranquille. Une bouche pleine ne parle pas.
D’après nos informations, les services de la douane, du commerce et des impôts regardent passer sous leurs yeux et sans regarder les documents tous les deux mois de l’année, les véhicules ou marchandises du business-capi Eugène Ngaïkoisset et sa copine Aziza Françoise. Une pratique que dénoncent certains agents affectés dans le service de contrôle au PK26 .
Un jour, l’un de ces agents a décidé de franchir le pas pour lui exiger de payer des taxes sur ses produits importés. Ainsi, le 20 février dernier, un lot des marchandises du capitaine-businessman Eugène Ngaïkosset est arrivé au PK26, accompagné toujours de madame Aziza, la convoyeuse.
Comme à l’accoutumée, le service de la douane, avait accepté que les marchandises passent après un entretien discret avec le capitaine . Mais le service des impôts et du commerce, sous contrôle de l’agent droit comme disent les autres, a refusé que les marchandises franchissent la barrière sans quittance.
Surpris par l’entêtement de ce dernier, Eugène Ngaïkosset hausse le temps, se vantait de son sobriquet de boucher de Paoua, menaçait de buter l’agent. À la clé, il a récupéré manu militari au bout de tout compte fait, ses marchandises sans débourser une pièce de F CFA qui pourrait symboliser la taxe exigée par l’agent qu’il qualifie de « rebelle et récalcitrant ».
Depuis lors, l’agent rebelle, par mesure de précaution, est muté dans un autre service du ministère des Finances.
Quant au capitaine, il continue son business sans trop se soucier des taxes douanières quelconques.
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