«Le cauchemar, c’est quand on nous dit maintenant, que pour faire un groupe parlementaire, nous devons être à quinze (15) députés. Je dis que cette proposition, elle est politiquement injustifiable, juridiquement indéfendable, historiquement insoutenable. C’est l’exposé des motifs va chercher un droit comparé entre les articles 74 de la Constitution et les articles 99 du règlement intérieur », campe la responsable du Parti Socialiste (PS).
«L’article 74 de la Constitution dit que pour faire un recours en inconstitutionnalité d’une loi, nous devons être le dixième de l’Assemblée nationale en tant député, l’article 99 de notre règlement intérieur dit que pour faire une motion de censure, nous devons être le dixième de l’Assemblée et on veut faire le parallèle avec le groupe parlementaire pour dire que forcément le groupe parlementaire doit être au dixième », marque Aïssata Tall Sall qui ironise : «Quel est ce mauvais juriste qui a proposé cet exposé des motifs bancal et inopérant… ».
La mairesse de Podor de lancer à qui veut l’entendre que «l’esclavage est terminé ». « Je n’accepte pas que mon Assemblée nationale pour des raisons inavoués fasse cet exercice de mauvais alois », s’inscrit-elle. Quant à la proposition de loi sur l’abrogation de la loi Sada Ndiaye visant à ramener le mandat du président de l’Assemblée nationale à cinq (5), la mairesse de Podor l’assimile à un « rêve ». Dans son entendement, elle survient beaucoup trop tard.
Pis, sert la responsable socialiste: «les mêmes qui sont signataires aujourd’hui, étaient ceux-là qui l’avaient refusé ». «Qu’est ce qui les a poussés à accepter. Personne ne nous le dit », s’interroge Aïssata Tall Sall.
«L’article 74 de la Constitution dit que pour faire un recours en inconstitutionnalité d’une loi, nous devons être le dixième de l’Assemblée nationale en tant député, l’article 99 de notre règlement intérieur dit que pour faire une motion de censure, nous devons être le dixième de l’Assemblée et on veut faire le parallèle avec le groupe parlementaire pour dire que forcément le groupe parlementaire doit être au dixième », marque Aïssata Tall Sall qui ironise : «Quel est ce mauvais juriste qui a proposé cet exposé des motifs bancal et inopérant… ».
La mairesse de Podor de lancer à qui veut l’entendre que «l’esclavage est terminé ». « Je n’accepte pas que mon Assemblée nationale pour des raisons inavoués fasse cet exercice de mauvais alois », s’inscrit-elle. Quant à la proposition de loi sur l’abrogation de la loi Sada Ndiaye visant à ramener le mandat du président de l’Assemblée nationale à cinq (5), la mairesse de Podor l’assimile à un « rêve ». Dans son entendement, elle survient beaucoup trop tard.
Pis, sert la responsable socialiste: «les mêmes qui sont signataires aujourd’hui, étaient ceux-là qui l’avaient refusé ». «Qu’est ce qui les a poussés à accepter. Personne ne nous le dit », s’interroge Aïssata Tall Sall.
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