Le chef de l’Etat apporte la république aux imams et religieux qui pourfendent le monument de la renaissance. Il a, lors de la conférence nationale des enseignants de la Génération du concret, puisé dans des références religieuses pour accréditer la thèse de la pertinence de la statue. «On prie jésus dans les églises tout le monde le sait mais ils n’ont jamais demandé qu’on casse les églises, ils n’ont jamais fait des objections ils ne s’intéressent pas à ce que les gens font là-bas moi aussi je ne me préoccupe pas de ce qu’ils font et c’est ça la tolérance», a rétorqué le président Abdoulaye Wade.
Le leader du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) de clamer aux détracteurs du monument de la renaissance : «ceux qui critiquent le monument ont l’habitude de voir sinon, ils voient à longueur de journée des statues des non croyants alors qu’ils n’ont jamais rien dit». Il a fait savoir aux imams que «ce monument est fait pour sa beauté. Il est fait parce que c’est un message, ce n’est pour adorer c’est un message de toute une race, de tout un continent».
Et d’insister : «le monument de la renaissance, c’est pour la renaissance africaine, ce n’est pas pour la renaissance du Sénégal».
Abdoulaye Wade a tenu à faire comprendre qu’il a consulté l’Unesco et qui lui a fait savoir que «lorsque le prophète est arrivé les gens adoraient des statues. Il a dit à ces gens qu’il faut plutôt adorer Allah. Cette interdiction était contre les gens qui confectionnaient des statues pour les adorer».
Le chef de l’Etat n’a pu se priver dans son argumentaire de se demander : «mais qui va dire qu’on va adorer le monument de la renaissance africaine, qui va dire qu’un américain noir ou blanc qui va venir ici c’est pour prier ?» Il a ainsi anticipé sur l’objet de la visite de ce monument «ceux qui vont venir le feront pour l’esthétique. Ils vont retrouver quelque chose qu’ils cherchaient la confiance en soi-même et savoir que l’Afrique est en renaissance c’est ça qui va les amener».
Comme gage, le président a, en outre, expliqué que «l’organisation Islamique pour l’éducation, les sciences et la culture a donné son feu vert pour la construction de ce monument».
Le leader du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) de clamer aux détracteurs du monument de la renaissance : «ceux qui critiquent le monument ont l’habitude de voir sinon, ils voient à longueur de journée des statues des non croyants alors qu’ils n’ont jamais rien dit». Il a fait savoir aux imams que «ce monument est fait pour sa beauté. Il est fait parce que c’est un message, ce n’est pour adorer c’est un message de toute une race, de tout un continent».
Et d’insister : «le monument de la renaissance, c’est pour la renaissance africaine, ce n’est pas pour la renaissance du Sénégal».
Abdoulaye Wade a tenu à faire comprendre qu’il a consulté l’Unesco et qui lui a fait savoir que «lorsque le prophète est arrivé les gens adoraient des statues. Il a dit à ces gens qu’il faut plutôt adorer Allah. Cette interdiction était contre les gens qui confectionnaient des statues pour les adorer».
Le chef de l’Etat n’a pu se priver dans son argumentaire de se demander : «mais qui va dire qu’on va adorer le monument de la renaissance africaine, qui va dire qu’un américain noir ou blanc qui va venir ici c’est pour prier ?» Il a ainsi anticipé sur l’objet de la visite de ce monument «ceux qui vont venir le feront pour l’esthétique. Ils vont retrouver quelque chose qu’ils cherchaient la confiance en soi-même et savoir que l’Afrique est en renaissance c’est ça qui va les amener».
Comme gage, le président a, en outre, expliqué que «l’organisation Islamique pour l’éducation, les sciences et la culture a donné son feu vert pour la construction de ce monument».
Autres articles
-
Rufisque : Le maire dénonce des pertes massives de recettes et appelle à une réforme urgente
-
Rufisque : le budget 2025 de la mairie connaît une baisse de prés de 2 milliards de francs CFA
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop