Le découpage administratif et la mise en place des délégations spéciales ne plaisent pas du tout au président du mouvement Luy Jot-Jotna. Selon lui, cela va plutôt attiser les tensions sociales dans le pays. «Cette pratique renferme les ferments d’une aggravation des tentions dans le pays», a déclaré l’ancien ministre des Affaires étrangères qui était en visite dans la banlieue.
Selon lui, le Pouvoir a intérêt a baisser la tension s’il est sûr, comme il le déclare, être majoritaire dans ce pays.
«Si le régime a confiance en lui, on l’a vu sortir des sondages bizarres qui donnent au régime à ses alliés potentiels plus de 60% du vote, pourquoi faire des découpages administratifs intempestifs, des délégations spéciales et pour quoi faire monter la tension?, s’interroge Cheikh Tidiane Gadio
En outre, l’ancien patron de la diplomatie sénégalaise a mis en garde le conseil constitutionnel par rapport à la candidature de Me Wade pour la présidentielle de 2012.
«Pour nous, ce qui est arrivé en Côte d’Ivoire ne doit pas avoir lieu au Sénégal. C’est pour cette raison que nous avons mis en garde le Conseil constitutionnel sénégalais», a-t-il alerté. Selon M. Gadio, «c’est le Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire qui a mené son pays à la catastrophe par manque de rigueur, de responsabilité et du sens de l’histoire, de la mission».
C’est pourquoi, le mouvement Luy bJot-Jotna «prie que le Conseil du Sénégal dise le droit en déclarant que le président de la république n’est pas constitutionnellement éligible pour un 3e mandat».
Selon lui, le Pouvoir a intérêt a baisser la tension s’il est sûr, comme il le déclare, être majoritaire dans ce pays.
«Si le régime a confiance en lui, on l’a vu sortir des sondages bizarres qui donnent au régime à ses alliés potentiels plus de 60% du vote, pourquoi faire des découpages administratifs intempestifs, des délégations spéciales et pour quoi faire monter la tension?, s’interroge Cheikh Tidiane Gadio
En outre, l’ancien patron de la diplomatie sénégalaise a mis en garde le conseil constitutionnel par rapport à la candidature de Me Wade pour la présidentielle de 2012.
«Pour nous, ce qui est arrivé en Côte d’Ivoire ne doit pas avoir lieu au Sénégal. C’est pour cette raison que nous avons mis en garde le Conseil constitutionnel sénégalais», a-t-il alerté. Selon M. Gadio, «c’est le Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire qui a mené son pays à la catastrophe par manque de rigueur, de responsabilité et du sens de l’histoire, de la mission».
C’est pourquoi, le mouvement Luy bJot-Jotna «prie que le Conseil du Sénégal dise le droit en déclarant que le président de la république n’est pas constitutionnellement éligible pour un 3e mandat».
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