Amadou et Mariam, chanteurs maliens
Le monde vient de fêter, comme à l’accoutumée, ce 8 mars la Journée Internationale de la Femme. Une bonne occasion de rappeler le gap qui reste encore dans l’octroi plein et entier de tous leurs droits aux femmes. Un rapide état des lieux aux plans politique, économique, social et culturel montre qu’il y a encore du chemin à faire pour un monde plus équitable dans ses composantes sexuelles. Les femmes sont trop souvent très peu représentées dans les instances de conduite des affaires publiques et brimées au sein des ménages. Un manque à gagner énorme pour nos sociétés !
Il faut donc converger vers plus d’équité entre les sexes. Que la discrimination ne puisse pas s’opérer sur la base unique du sexe mais sur la compétence, le mérite et les aptitudes objectives. Voilà le critérium, le seul valable et acceptable, dans une société qui aspire à une citoyenneté intégrale.
Cependant l’équité n’est pas l’uniformité, la confusion et l’indifférence. La femme n’est pas l’homme. Nous voyons d’ici des esprits adeptes de l’amalgame se hérisser le poil. Explications. La femme et l’homme sont comme deux unités d’une paire de chaussure. Elles ne sont utiles qu’ensemble. L’une ne peut pas aller sans l’autre. L’homme n’est pas supérieur à la femme, la femme n’est pas meilleure à l’homme. Ils ont un destin lié et sont par conséquent des partenaires essentiels.
A titre d’exemple, la procréation, signe de la vie, viendra toujours et nécessairement d’un spermatozoïde (homme) fécondant un ovule (femme) quelles que soient les avancées scientifiques et techniques. Vouloir les opposer relève d’une entreprise insensée. Chacun a un rôle ontologique (inné) mais aussi social et culturel (acquis). Ceux-là qui prétendent que l’homme et la femme sont identiques n’ont rien compris ou ne trompent qu’eux-mêmes. Ils sont égaux mais jouent souvent des rôles différents et complémentaires.
Quand on entend généralement le discours dit féministe, on a tendance à croire que l’homme est l’ennemi de la femme ou à tout le moins un adversaire qu’il faut abattre. Erreur de jugement ! C’est un partenaire qu’il faut à tout prix essayer de faire adhérer à ce combat pour sa réussite. Ce qu’une personne peut effectuer, deux doivent mieux le faire. Tout est question d’une bonne répartition des tâches découlant d’une organisation intelligente.
Cela nous fait dire que le combat pour l’équité doit trier ses priorités et axes d’intervention pour plus d’efficacité. Tout ne changera pas du jour au lendemain. C‘est un processus de longue haleine pour arriver à corriger les disparités subjectives. L’éducation, la formation, l’information, la communication, l’engagement et la volonté sont des outils utiles pour atteindre ces objectifs d’épanouissement dans l’espace public.
Au sein des couples également, ce partage de responsabilités est plus que nécessaire. L’ère du mari dictateur et de la femme objet est révolu pour céder la place au ménage de concertation entre les époux avant décision pour que celle-ci soit partagée, soutenue par toute la famille pour avoir le maximum de chances de succès. Tout le monde y gagne.
Il faut donc converger vers plus d’équité entre les sexes. Que la discrimination ne puisse pas s’opérer sur la base unique du sexe mais sur la compétence, le mérite et les aptitudes objectives. Voilà le critérium, le seul valable et acceptable, dans une société qui aspire à une citoyenneté intégrale.
Cependant l’équité n’est pas l’uniformité, la confusion et l’indifférence. La femme n’est pas l’homme. Nous voyons d’ici des esprits adeptes de l’amalgame se hérisser le poil. Explications. La femme et l’homme sont comme deux unités d’une paire de chaussure. Elles ne sont utiles qu’ensemble. L’une ne peut pas aller sans l’autre. L’homme n’est pas supérieur à la femme, la femme n’est pas meilleure à l’homme. Ils ont un destin lié et sont par conséquent des partenaires essentiels.
A titre d’exemple, la procréation, signe de la vie, viendra toujours et nécessairement d’un spermatozoïde (homme) fécondant un ovule (femme) quelles que soient les avancées scientifiques et techniques. Vouloir les opposer relève d’une entreprise insensée. Chacun a un rôle ontologique (inné) mais aussi social et culturel (acquis). Ceux-là qui prétendent que l’homme et la femme sont identiques n’ont rien compris ou ne trompent qu’eux-mêmes. Ils sont égaux mais jouent souvent des rôles différents et complémentaires.
Quand on entend généralement le discours dit féministe, on a tendance à croire que l’homme est l’ennemi de la femme ou à tout le moins un adversaire qu’il faut abattre. Erreur de jugement ! C’est un partenaire qu’il faut à tout prix essayer de faire adhérer à ce combat pour sa réussite. Ce qu’une personne peut effectuer, deux doivent mieux le faire. Tout est question d’une bonne répartition des tâches découlant d’une organisation intelligente.
Cela nous fait dire que le combat pour l’équité doit trier ses priorités et axes d’intervention pour plus d’efficacité. Tout ne changera pas du jour au lendemain. C‘est un processus de longue haleine pour arriver à corriger les disparités subjectives. L’éducation, la formation, l’information, la communication, l’engagement et la volonté sont des outils utiles pour atteindre ces objectifs d’épanouissement dans l’espace public.
Au sein des couples également, ce partage de responsabilités est plus que nécessaire. L’ère du mari dictateur et de la femme objet est révolu pour céder la place au ménage de concertation entre les époux avant décision pour que celle-ci soit partagée, soutenue par toute la famille pour avoir le maximum de chances de succès. Tout le monde y gagne.
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