«La SENELEC a eu l’idée de mettre en place un comité national de dialogue avec la clientèle. En nous inspirant de la journée nationale du Dialogue que le Président de la République a lancée au mois de mai dernier, nous nous sommes dit que chaque secteur d’activité de la ville devrait avoir un dialogue localisé», a expliqué Mouhamadou Makhtar Cissé.
Selon lui, «un pays ne peut pas se développer en ramant à compte courant de ses valeurs. Tout le monde est convaincu que le Sénégal est un pays de dialogue». «Nous sommes un pays de convivialité, d’échange, de respect et de cohabitation mutuel entre toutes les communautés. C’est cela qui fait la marque de fabrique de notre pays. C’est cela qui garantie la cohésion social de notre pays depuis toujours», a-t-il par ailleurs souligné.
A l'en croire, la Société National d'Éléctricité du Sénégal veut se rattraper compte tenu de son passé avec sa clientèle,
Et Mouhamadou Makhtar Cissé d'ajouter: «Si vous suivez les débats, c’est un manque de compréhension, de part et d’autre. Mais surtout de notre côté, parce qu’il ne m’appartient pas de critiquer le comportement des clients, mais surtout de m’arrêter sur les insuffisances de la SENELEC en terme d’approche clientèle».
«Les débats d’aujourd’hui permettrons d’avoir une structure, c’est une périodicité de rencontre pour échanger autour des différent points : accès à l’énergie, à la qualité de service, le coût de l’électricité au Sénégal. Je crois que c’est un paramètre à surveiller si nous voulons avoir une base saine de dialogue», a-t-il rassuré.
Pour le Président de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN), «la grande difficulté qu’on avait, c’était de parler avec SENELEC (qui est) une entreprise que nous voyons à travers les releveurs, coupeurs, encaisseurs, payeurs... ».
C’est la raison pour laquelle Momar Ndao a salué «le choix de la direction de la SENELEC qui a pris conscience de l’importance des échanges avec la clientèle».
L’autre point étant pour le président de l'ASCOSEN: «C’est quant il y avait des difficultés, des problèmes des réclamations, le niveau d’écoute n’était pas suffisant».
«Nous avions l’impression que nous étions soumis à une toute puissance que SENELEC faisait ce qu’il voulait. Et donc en instaurant ce dialogue national avec la clientèle, nous allons avoir des relations plus dynamiques et plus compréhensible avec SENELEC», s'est-il félicité.
Selon lui, «un pays ne peut pas se développer en ramant à compte courant de ses valeurs. Tout le monde est convaincu que le Sénégal est un pays de dialogue». «Nous sommes un pays de convivialité, d’échange, de respect et de cohabitation mutuel entre toutes les communautés. C’est cela qui fait la marque de fabrique de notre pays. C’est cela qui garantie la cohésion social de notre pays depuis toujours», a-t-il par ailleurs souligné.
A l'en croire, la Société National d'Éléctricité du Sénégal veut se rattraper compte tenu de son passé avec sa clientèle,
Et Mouhamadou Makhtar Cissé d'ajouter: «Si vous suivez les débats, c’est un manque de compréhension, de part et d’autre. Mais surtout de notre côté, parce qu’il ne m’appartient pas de critiquer le comportement des clients, mais surtout de m’arrêter sur les insuffisances de la SENELEC en terme d’approche clientèle».
«Les débats d’aujourd’hui permettrons d’avoir une structure, c’est une périodicité de rencontre pour échanger autour des différent points : accès à l’énergie, à la qualité de service, le coût de l’électricité au Sénégal. Je crois que c’est un paramètre à surveiller si nous voulons avoir une base saine de dialogue», a-t-il rassuré.
Pour le Président de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN), «la grande difficulté qu’on avait, c’était de parler avec SENELEC (qui est) une entreprise que nous voyons à travers les releveurs, coupeurs, encaisseurs, payeurs... ».
C’est la raison pour laquelle Momar Ndao a salué «le choix de la direction de la SENELEC qui a pris conscience de l’importance des échanges avec la clientèle».
L’autre point étant pour le président de l'ASCOSEN: «C’est quant il y avait des difficultés, des problèmes des réclamations, le niveau d’écoute n’était pas suffisant».
«Nous avions l’impression que nous étions soumis à une toute puissance que SENELEC faisait ce qu’il voulait. Et donc en instaurant ce dialogue national avec la clientèle, nous allons avoir des relations plus dynamiques et plus compréhensible avec SENELEC», s'est-il félicité.
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