Sur le feu de l’actualité depuis son fameux rapport qui a fini d’éclabousser la Direction Générale de Police Nationale (DGPN) dont l’actuel patron, Abdoulaye Niang et son prédécesseur seraient mêlés jusqu’au cou selon lui, Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta tient en recentré le débat et se défendre au moment où « les enjeux du rapport semblent se déplacer dans des considérations accessoires ».
« Il faut recentrer le débat là où il doit être. Il s’agit de la drogue dans la police. A quel niveau la hiérarchie est-elle mouillée ? Comment le mal a été instauré ? Puis persisté ? Voilà les bonnes questions. Pourquoi les responsables n’essaient pas de comprendre comment le trafic de drogue s’est installé dans la police depuis toutes ces années ? », lâche le commissaire qui précise avoir « ouvert une enquête » dés qu’on lui a apporté des allégations selon lesquelles, Codé Mbengue recevrait des parts de l’argent de la drogue de l’OCRTIS pour de fil en aiguille faire des découvertes qui font froid dans le dos à savoir l’actuel DGPN est même au cœur du trafic en complicité avec des narcotrafiquants Nigérians et saisir l’autorité qui se trouve être le ministre de l’Intérieur qui était « bel et bien au courant ».
« Six mois, j’ai traité de ce dossier avec Pathé Seck. Il connait toute cette histoire. Mais, il n’a pas pris ses responsabilités », martèle Cheikhna Keïta qui déverse sa bile sur la tutelle.
« Même s’il s’agissait d’un duel fratricide, il a l’obligation d’intervenir parce qu’il s’agit de son ministère mais il a fui ses responsabilités pour tirer au clair cette affaire de drogue au clair », sur les colonnes du journal « Le Quotidien » où il tient à préciser.
« Je ne pouvais pas me taire sinon je serai devenu leur complice. Les intérêts de la République dépassent nos personnes. J’ai travaillé sur la base d’un rapport et j’ai saisi l’autorité pour l’informer de ce qui se passe dans la police au niveau de ces cadres», éructe l’ex-patron de l’OCRTIS rappelé à d’autres fonctions.
« Il faut recentrer le débat là où il doit être. Il s’agit de la drogue dans la police. A quel niveau la hiérarchie est-elle mouillée ? Comment le mal a été instauré ? Puis persisté ? Voilà les bonnes questions. Pourquoi les responsables n’essaient pas de comprendre comment le trafic de drogue s’est installé dans la police depuis toutes ces années ? », lâche le commissaire qui précise avoir « ouvert une enquête » dés qu’on lui a apporté des allégations selon lesquelles, Codé Mbengue recevrait des parts de l’argent de la drogue de l’OCRTIS pour de fil en aiguille faire des découvertes qui font froid dans le dos à savoir l’actuel DGPN est même au cœur du trafic en complicité avec des narcotrafiquants Nigérians et saisir l’autorité qui se trouve être le ministre de l’Intérieur qui était « bel et bien au courant ».
« Six mois, j’ai traité de ce dossier avec Pathé Seck. Il connait toute cette histoire. Mais, il n’a pas pris ses responsabilités », martèle Cheikhna Keïta qui déverse sa bile sur la tutelle.
« Même s’il s’agissait d’un duel fratricide, il a l’obligation d’intervenir parce qu’il s’agit de son ministère mais il a fui ses responsabilités pour tirer au clair cette affaire de drogue au clair », sur les colonnes du journal « Le Quotidien » où il tient à préciser.
« Je ne pouvais pas me taire sinon je serai devenu leur complice. Les intérêts de la République dépassent nos personnes. J’ai travaillé sur la base d’un rapport et j’ai saisi l’autorité pour l’informer de ce qui se passe dans la police au niveau de ces cadres», éructe l’ex-patron de l’OCRTIS rappelé à d’autres fonctions.
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