Le coordonnateur régional du parti de Moustapha Niasse à Thiès, Mbaye Dione qui indique que le Sénégal ne peut pas se développer sans la concorde, la paix des cœurs et des esprits, invite à cet effet, le président Sall à faire preuve de sincérité dans son appel à la concertation lancé le 16 octobre dernier, jour le Tabaski sur la fameuse acte 3 de la décentralisation. « Il faut cependant instaurer un dialogue sincère parce qu’il n’y a plus de temps à perdre. Il faut que cela repose sur la vérité et qu’aucune partie ne cherche à tromper l’autre », lâche le responsable de l'AFP qui en parlant des incohérences administratives, met en exergue le cas de la collectivité locale de Ngoundiane dont il est le président du Conseil rural.
"La correction de toutes les incohérences va permettre aux administrés d’être plus proches de leur administration", selon Mbaye Dione qui est d'avis que "c’est la meilleure voie pour prendre efficacement en charge les besoins des populations, à l’image de la localité de Mbousnakh qui manque pratiquement de tout".
Le coordonnateur local de l’AFP, Aliou Tine qui déclare à son tour que "la communauté rurale n’a rien fait pour assister les populations qui manquent de routes praticables, d’écoles dignes de ce nom, d’électrification, de terrains de sport réglementaires", lâche que "la case de santé qui polarise 10 000 âmes a cessé de fonctionner depuis deux (2) ans et les malades sont obligés de faire des kilomètres pour aller se faire soigner dans la communauté rurale de Ngoundiane".
"La correction de toutes les incohérences va permettre aux administrés d’être plus proches de leur administration", selon Mbaye Dione qui est d'avis que "c’est la meilleure voie pour prendre efficacement en charge les besoins des populations, à l’image de la localité de Mbousnakh qui manque pratiquement de tout".
Le coordonnateur local de l’AFP, Aliou Tine qui déclare à son tour que "la communauté rurale n’a rien fait pour assister les populations qui manquent de routes praticables, d’écoles dignes de ce nom, d’électrification, de terrains de sport réglementaires", lâche que "la case de santé qui polarise 10 000 âmes a cessé de fonctionner depuis deux (2) ans et les malades sont obligés de faire des kilomètres pour aller se faire soigner dans la communauté rurale de Ngoundiane".
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