Le journaliste, écrivain René Capain Bassène mal en point. Sa famille très inquiète alerte l’opinion nationale et internationale, les associations et ONG des droits de l’homme et les autorités compétentes sur son état de santé. La dégradation de sa santé fait suite à son admission dans la soirée du mercredi 20 novembre à l’hôpital de la paix de Ziguinchor pour une opération à l’oreille droite conséquence des tortures qu’il avait subies à la gendarmerie de Néma (Ziguinchor, Sud), lors de son interrogatoire.
À noter que René Capain Bassène a été extrait le mercredi vers 18 heures de sa cellule et conduit à l’hôpital, où il devrait subir une tympanoplastie à l’oreille gauche. Une fois à l’hôpital, il a été victime d’un sabotage qui le met actuellement dans une situation très critique. René Capain Bassène a été admis au bloc opératoire, ils ont déclenché le processus. Ils lui ont administré trois bouteilles de perfusion, Perfalgan, mais, l’opération en question n’a pas été effectué, ils se sont arrêtés en plein processus pour des raisons qu’on ignore.
Après avoir été endormi René Capain Basséne, s’est réveillé vers les coups de 17 heures dans l’une des chambres de soins de l’hôpital. Aucun médecin n’est venu prendre de ses nouvelles pour voir si tout va bien. Peu de temps après son réveil, ils l’on ramené dans sa cellule en prison où il souffre de douleur sur toutes les parties de son corps, de migraine et peine à tenir debout pendant quelques minutes. Même le timbre de sa voix a changé.
Malgré les efforts qu’il fait, pour ne pas se laisser abattre, son état de santé reste très inquiétant. Ils l’ont fait quitter l’hôpital sans ordre de sortie, sans ordonnance, sans motif, aucune explication ne lui a été donnée sur la situation de sa santé, ni sur l’annulation de l’opération alors que le processus avait été déclenché.
René Capain Bassène ne traînait aucune maladie avant son arrestation, et même jusqu’ au mercredi avant d’entrer dans le bloc opératoire tout allé bien, les résultats de la consultation avant d’entrer dans le bloc l’on prouvé.
René Capain Bassène, arrêté à son domicile en janvier 2018 avait subi toutes sortes de tortures lors de sa garde à vue à la gendarmerie de Néma venant des gendarmes qui voulaient le forcer à faire des aveux sur des accusations dont il est innocent. Les coups reçus sur sa joue droite ont endommagé son oreille, il a saigné jusqu’à son déferrement. Une douleur qu’il a signalée à l’infirmerie de la prison, mais il n’avait pas été pris en charge comme il se doit. Il mettait du coton dans l’oreille pour arrêter le saignement.
Le 10 août 2019, il a été envoyé à l’hôpital de la paix pour des consultations en ce sens parce que du pus sortait de son oreille, là-bas, il n’a eu que des calmants et un rendez lui avez été donné pour le 20 août, mais il n'a pas été conduit à ce rendez-vous. Le problème s’est aggravé parce qu’en plus du pus qui sortait de son oreille, il avait tout le temps des migraines et des bourdonnements dans la tête et il ne pouvait entendre qu’avec l’oreille gauche.
Face à cette situation, l’infirmier de la prison l’a conduit le 23 octobre 2024, à l’hôpital de la paix. Après une consultation approfondie, le médecin a déclaré qu’il était impératif qu’il subisse une tympanoplastie, parce que la situation été grave, et cela, dans les plus brefs délais. Le médecin a fait savoir que le tympan droit était irrécupérable parce qu’il a été conduit à l’hôpital très tardivement et s’il ne subissait pas l’opération, cela pourrait affecter le cerveau.
Ainsi, la tympanoplastie était proclamée pour le mardi, puis a été renvoyée au mercredi. Mais elle n’a finalement pas été effectuée.
La famille exige des explications sur cette affaire et refuse que René Capain Bassene soit sacrifié une seconde fois.
René Capain Bassène n’a jamais traîné de symptômes de maladies jusqu’à là, à part cette souffrance qui lui a été infligée par les gendarmes. La famille prend l’opinion nationale et internationale à témoins et informe que l’équipe qui était avec lui dans ce bloc sera tenue pour responsable de tout ce qui arrivera à René Capain Bassène .
À noter que René Capain Bassène a été extrait le mercredi vers 18 heures de sa cellule et conduit à l’hôpital, où il devrait subir une tympanoplastie à l’oreille gauche. Une fois à l’hôpital, il a été victime d’un sabotage qui le met actuellement dans une situation très critique. René Capain Bassène a été admis au bloc opératoire, ils ont déclenché le processus. Ils lui ont administré trois bouteilles de perfusion, Perfalgan, mais, l’opération en question n’a pas été effectué, ils se sont arrêtés en plein processus pour des raisons qu’on ignore.
Après avoir été endormi René Capain Basséne, s’est réveillé vers les coups de 17 heures dans l’une des chambres de soins de l’hôpital. Aucun médecin n’est venu prendre de ses nouvelles pour voir si tout va bien. Peu de temps après son réveil, ils l’on ramené dans sa cellule en prison où il souffre de douleur sur toutes les parties de son corps, de migraine et peine à tenir debout pendant quelques minutes. Même le timbre de sa voix a changé.
Malgré les efforts qu’il fait, pour ne pas se laisser abattre, son état de santé reste très inquiétant. Ils l’ont fait quitter l’hôpital sans ordre de sortie, sans ordonnance, sans motif, aucune explication ne lui a été donnée sur la situation de sa santé, ni sur l’annulation de l’opération alors que le processus avait été déclenché.
René Capain Bassène ne traînait aucune maladie avant son arrestation, et même jusqu’ au mercredi avant d’entrer dans le bloc opératoire tout allé bien, les résultats de la consultation avant d’entrer dans le bloc l’on prouvé.
René Capain Bassène, arrêté à son domicile en janvier 2018 avait subi toutes sortes de tortures lors de sa garde à vue à la gendarmerie de Néma venant des gendarmes qui voulaient le forcer à faire des aveux sur des accusations dont il est innocent. Les coups reçus sur sa joue droite ont endommagé son oreille, il a saigné jusqu’à son déferrement. Une douleur qu’il a signalée à l’infirmerie de la prison, mais il n’avait pas été pris en charge comme il se doit. Il mettait du coton dans l’oreille pour arrêter le saignement.
Le 10 août 2019, il a été envoyé à l’hôpital de la paix pour des consultations en ce sens parce que du pus sortait de son oreille, là-bas, il n’a eu que des calmants et un rendez lui avez été donné pour le 20 août, mais il n'a pas été conduit à ce rendez-vous. Le problème s’est aggravé parce qu’en plus du pus qui sortait de son oreille, il avait tout le temps des migraines et des bourdonnements dans la tête et il ne pouvait entendre qu’avec l’oreille gauche.
Face à cette situation, l’infirmier de la prison l’a conduit le 23 octobre 2024, à l’hôpital de la paix. Après une consultation approfondie, le médecin a déclaré qu’il était impératif qu’il subisse une tympanoplastie, parce que la situation été grave, et cela, dans les plus brefs délais. Le médecin a fait savoir que le tympan droit était irrécupérable parce qu’il a été conduit à l’hôpital très tardivement et s’il ne subissait pas l’opération, cela pourrait affecter le cerveau.
Ainsi, la tympanoplastie était proclamée pour le mardi, puis a été renvoyée au mercredi. Mais elle n’a finalement pas été effectuée.
La famille exige des explications sur cette affaire et refuse que René Capain Bassene soit sacrifié une seconde fois.
René Capain Bassène n’a jamais traîné de symptômes de maladies jusqu’à là, à part cette souffrance qui lui a été infligée par les gendarmes. La famille prend l’opinion nationale et internationale à témoins et informe que l’équipe qui était avec lui dans ce bloc sera tenue pour responsable de tout ce qui arrivera à René Capain Bassène .
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