Les relations entre l’Afrique et l’Europe, particulièrement le Sénégal et la France, étaient également à l’ordre du jour lors de la conférence de presse conjointement animée par le leader de Pastef, Ousmane Sonko et Jean-Luc Mélenchon, leader du parti français La France Insoumise (LFI). Sans surprise, Sonko charge d’emblée dans ses propos, avant de défendre la cause palestinienne.
« Les liens qui unissent nos continents sont d’emblée une histoire complexe façonnée par des récits entremêlés de souffrances et d’aspirations. Il est très difficile de parler de l’avenir sans évoquer l’histoire qui n’est pas forcément l’horizon. L’Afrique a été souvent le théâtre d’exploitations injustes dictées par des intérêts extérieurs. Aujourd’hui, nous nous trouvons à un tournent décisif d’évaluer ces schémas historiques et de promouvoir un partenariat avec une urgence sans précédent », a soulevé le Premier ministre sénégalais.
Listant les défis « importants » qui attendent les pays africains face « à la complexité des relations internationales », Ousmane Sonko a laissé entendre : « nous devons également faire preuve de clairvoyance face aux défis contemporains qui jalonnent nos échanges intercontinentales sur des enjeux cruciaux tel que la migration, le commerce équitable, sans oublier les problèmes des accords de partenariat économique, la lutte contre le racisme, la sécurité, le transfert de technologies, la lutte contre le changement climatique ».
Cela requiert, selon lui, une approche concertée et résolue, seule une volonté commune de dialogue et de partenariat authentique et politique nous permettra de surmonter ces défis et de construire un avenir meilleur pour nos peuples.
Sans ambiguïté, il poursuit devant Mélenchon : « Quand on parle de la relation des pays colonisés et l’Europe, il faut sous-entendre leur relation avec la France qui continue à être un écran et une piste de transmission pour toute l’Europe ou du reste de l’Europe. Ces relations ne sont pas toujours fondées sur l’égalité, l’équité et le respect mutuel ».
« Les liens qui unissent nos continents sont d’emblée une histoire complexe façonnée par des récits entremêlés de souffrances et d’aspirations. Il est très difficile de parler de l’avenir sans évoquer l’histoire qui n’est pas forcément l’horizon. L’Afrique a été souvent le théâtre d’exploitations injustes dictées par des intérêts extérieurs. Aujourd’hui, nous nous trouvons à un tournent décisif d’évaluer ces schémas historiques et de promouvoir un partenariat avec une urgence sans précédent », a soulevé le Premier ministre sénégalais.
Listant les défis « importants » qui attendent les pays africains face « à la complexité des relations internationales », Ousmane Sonko a laissé entendre : « nous devons également faire preuve de clairvoyance face aux défis contemporains qui jalonnent nos échanges intercontinentales sur des enjeux cruciaux tel que la migration, le commerce équitable, sans oublier les problèmes des accords de partenariat économique, la lutte contre le racisme, la sécurité, le transfert de technologies, la lutte contre le changement climatique ».
Cela requiert, selon lui, une approche concertée et résolue, seule une volonté commune de dialogue et de partenariat authentique et politique nous permettra de surmonter ces défis et de construire un avenir meilleur pour nos peuples.
Sans ambiguïté, il poursuit devant Mélenchon : « Quand on parle de la relation des pays colonisés et l’Europe, il faut sous-entendre leur relation avec la France qui continue à être un écran et une piste de transmission pour toute l’Europe ou du reste de l’Europe. Ces relations ne sont pas toujours fondées sur l’égalité, l’équité et le respect mutuel ».
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