« La DIRPA informe que cinq parmi les six manquant à l’appel - après les attaques de Kabeum (13 décembre) et Diégoune (18 décembre) - sont présentement entre les mains du MFDC. Ils sont vivants et les familles des intéressés ont été informées », a dit sur RFI le commandant Adama Diop, directeur adjoint de la DIRPA.
« Suite à l’attaque de Kabeum intervenue le 13 décembre 2011, la DIRPA avait informé l’opinion qu’aucun mort n’avait été enregistré. En revanche, 5 militaires avaient été porté manquants à l’appel. Sur un autre plan, le bilan de l’attaque de Diégoune déclarait aussi un manquant à l’appel », a-t-il rappelé.
En ce concerne la négociation avec la rébellion pour la libération des otages, il répond : « Je ne peux pas m’avancer la-dessus ».
Un accident de la circulation survenu le 18 décembre dans le département de Bignona (sud) a coûté la vie à sept soldats dont un officier, avait annoncé la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA).
Après ce drame, la DIRPA faisait état d’un militaire tué, d’un autre gravement blessé et d’un troisième qui manquait à l’appel, après l’attaque du poste militaire de Diégoune. Elle faisait état de cinq morts et de six blessés chez les rebelles.
Cet accident, qui a fait cinq blessés dans les rangs de l’armée, est survenu au moment où les soldats menaient une « intervention », après que « le poste militaire de Diégoune, situé dans le département de Bignona, soit attaqué par une bande de rebelles du MFDC », le Mouvement des forces démocratiques de Casamance, explique le service d’information de l’Etat-major général des armées.
Des « opérations de ratissage et de sécurisation sont en cours, non seulement pour assurer la libre circulation des personnes et des biens, mais aussi pour retrouver cinq de nos éléments manquant toujours à l’appel », indiquait un autre communiqué de la DIRPA publié lundi soir par l’Agence de presse sénégalaise.
Dans ce communiqué, l’état-major général donnait le bilan de l’attaque, le 13 décembre, du poste militaire de Kabeum, dans le département de Bounkiling (région de Sédhiou). Cette attaque est « perpétrée par des éléments du MFDC », selon le service d’information des Armées.
La Casamance, constituée des régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, est le théâtre, depuis 1982, d’affrontements ayant fait de nombreux morts chez les civils, les militaires et les indépendantistes réunis au sein du MFDC.
Ces derniers ont, sous l’égide de leur secrétaire général Jean-Marie François Biagui, émis récemment le vœu de transformer cette organisation en parti politique et rejeté toute responsabilité dans ces différentes attaques qu’ils condamnent.
« Suite à l’attaque de Kabeum intervenue le 13 décembre 2011, la DIRPA avait informé l’opinion qu’aucun mort n’avait été enregistré. En revanche, 5 militaires avaient été porté manquants à l’appel. Sur un autre plan, le bilan de l’attaque de Diégoune déclarait aussi un manquant à l’appel », a-t-il rappelé.
En ce concerne la négociation avec la rébellion pour la libération des otages, il répond : « Je ne peux pas m’avancer la-dessus ».
Un accident de la circulation survenu le 18 décembre dans le département de Bignona (sud) a coûté la vie à sept soldats dont un officier, avait annoncé la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA).
Après ce drame, la DIRPA faisait état d’un militaire tué, d’un autre gravement blessé et d’un troisième qui manquait à l’appel, après l’attaque du poste militaire de Diégoune. Elle faisait état de cinq morts et de six blessés chez les rebelles.
Cet accident, qui a fait cinq blessés dans les rangs de l’armée, est survenu au moment où les soldats menaient une « intervention », après que « le poste militaire de Diégoune, situé dans le département de Bignona, soit attaqué par une bande de rebelles du MFDC », le Mouvement des forces démocratiques de Casamance, explique le service d’information de l’Etat-major général des armées.
Des « opérations de ratissage et de sécurisation sont en cours, non seulement pour assurer la libre circulation des personnes et des biens, mais aussi pour retrouver cinq de nos éléments manquant toujours à l’appel », indiquait un autre communiqué de la DIRPA publié lundi soir par l’Agence de presse sénégalaise.
Dans ce communiqué, l’état-major général donnait le bilan de l’attaque, le 13 décembre, du poste militaire de Kabeum, dans le département de Bounkiling (région de Sédhiou). Cette attaque est « perpétrée par des éléments du MFDC », selon le service d’information des Armées.
La Casamance, constituée des régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, est le théâtre, depuis 1982, d’affrontements ayant fait de nombreux morts chez les civils, les militaires et les indépendantistes réunis au sein du MFDC.
Ces derniers ont, sous l’égide de leur secrétaire général Jean-Marie François Biagui, émis récemment le vœu de transformer cette organisation en parti politique et rejeté toute responsabilité dans ces différentes attaques qu’ils condamnent.
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