Les travailleurs de la Sénégalaise Des Eaux (SDE) ne comptent pas lâcher le morceau. Ils menacent d’aller en grève si l’Etat ne veut pas négocier. Ces travailleurs ont fait face à la presse et ils se sont prononcés sur le contrat d’affermage attribué à Suez. Ils ont aussi exigé une augmentation de salaire et des actions autour de 15 %.
Selon leur porte-parole Elimane Diouf, « l’assemblée général d’aujourd’hui (jeudi 1er novembre 2018), intervient au moment ou l’Etat du Sénégal a fait l’adjudication provisoire de l’appel d’offre qui doit permettre lui de confier le secteur à une société pour 15 ans encore. Les travailleurs souhaitent que globalement que les préoccupations qui ont été transmises au ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement soient prises en compte ».
Mieux dit-il : « Dans la partie qui concerne les 15 % d’actions que les travailleurs réclament, la représentation des travailleurs dans le Conseil d’administration, et maintenant l’ouverture des négociations juste après l’adjudication définitive du nouveau repreneur, pour voir les conditions de travail, voir comment regarder les charge de travailleurs au niveau interne. Nous travailleurs, on nous avait attribué 5 %. L’Etat va avoir 25 % et les privés nationaux 25 % ».
Aux yeux d’Elimane Diouf, « maintenant, c’est la répartition des 25 % nationaux, ou dans les 25 % détenus par l’Etat, que nous travailleurs, réclamons plus de 5 %, à savoir 15 %. Et c’est ça l’objet des négociations que nous devons finaliser avec le gouvernement. Parce qu’on avait demandé l’adjudication ».
Revenant sur leur préavis de grève qui coure jusqu’en fin décembre, M. Diouf de déclarer : « Si l’adjudication est faite à la fin des recours et que l’Etat ne veut pas s’asseoir avec nous, nous avions déjà fait une grève de 48 heures pour signer un protocole, nous les remettrons sur la table. La grève est inévitable s’ils ne veulent pas négocier ».
Selon leur porte-parole Elimane Diouf, « l’assemblée général d’aujourd’hui (jeudi 1er novembre 2018), intervient au moment ou l’Etat du Sénégal a fait l’adjudication provisoire de l’appel d’offre qui doit permettre lui de confier le secteur à une société pour 15 ans encore. Les travailleurs souhaitent que globalement que les préoccupations qui ont été transmises au ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement soient prises en compte ».
Mieux dit-il : « Dans la partie qui concerne les 15 % d’actions que les travailleurs réclament, la représentation des travailleurs dans le Conseil d’administration, et maintenant l’ouverture des négociations juste après l’adjudication définitive du nouveau repreneur, pour voir les conditions de travail, voir comment regarder les charge de travailleurs au niveau interne. Nous travailleurs, on nous avait attribué 5 %. L’Etat va avoir 25 % et les privés nationaux 25 % ».
Aux yeux d’Elimane Diouf, « maintenant, c’est la répartition des 25 % nationaux, ou dans les 25 % détenus par l’Etat, que nous travailleurs, réclamons plus de 5 %, à savoir 15 %. Et c’est ça l’objet des négociations que nous devons finaliser avec le gouvernement. Parce qu’on avait demandé l’adjudication ».
Revenant sur leur préavis de grève qui coure jusqu’en fin décembre, M. Diouf de déclarer : « Si l’adjudication est faite à la fin des recours et que l’Etat ne veut pas s’asseoir avec nous, nous avions déjà fait une grève de 48 heures pour signer un protocole, nous les remettrons sur la table. La grève est inévitable s’ils ne veulent pas négocier ».
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