L'ambassadeur de France au Sénégal, Jean Christophe Rufin et le ministre de l'Economie et des Finances, Abdoulaye Diop
Le ministre d’Etat ministre de l’économie et des finances, Abdoulaye Diop et l’ambassadeur de France Jean Christophe Rufin ont procédé lundi à Dakar à la signature de deux conventions de financement portant sur un montant global de onze million d’euros soit 7,2 milliards de francs Cfa. Ces conventions s’inscrivent dans le cadre du programme « Initiatives de Co-développement ».
Selon Abdoulaye Diop, la première phase de ce projet a donné pleine et entière satisfaction par les actions de développement qui ont été réalisées par les migrants dans les régions de Matam, Tambacounda, Saint-Louis et Louga dans des secteurs sociaux tels que l’éducation, la santé et l’hydraulique rurale.
«La deuxième convention permettra dans la période 2009-2011, de renouveler l’expérience concluante de la première phase tout en intégrant de nouvelles composantes qui prennent en compte la dimension des jeunes enfants issus de parents émigrés pour participer à des actions de développement au Sénégal et le combat contre la facture numérique, pour les enfants des régions enclavées» a indiqué le ministre de l’Economie et des Finances.
Jean-Christophe Rufin, l’ambassadeur de France au Sénégal s’est félicité de l’engagement des ressortissants sénégalais établis en France dans le développement économique et social de leur pays d’origine. Il a révélé qu’avec un budget de 2,5 millions d’euros et 5000 ressortissants sénégalais ayant pris part, ce projet a été un succès. « 197 sénégalais établis en France ont pu réaliser leurs ambitions en s’intégrant dans le tissu économique à travers des investissements à distance ou dans le cadre d’une réinstallation. Il en est de même de la catégorie des sénégalais hautement qualifiés qui ont saisi l’opportunité de mettre à la disposition de leur pays d’origine, tout leur savoir faire, leur compétence et leurs expertises » a dit Jean-Christophe Rufin.
Le ministre d’Etat, ministre de l’économie et des finances a, par ailleurs, tenté de rassurer: « Nous avons déjà inscrit la contrepartie sénégalaise, nécessaire à la bonne exécution de ces projets. Nous veillerons également à ce que l’administration sénégalaise et particulièrement le ministère en charge de ce secteur soit mieux impliqués dans la mise en œuvre de ces projets».
S’articulant autour de cinq axes, le programme d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement avec un budget de neuf millions d’euros vient consolider le Projet « Initiatives de Co-développement.
Ces cinq axes sont : l’accompagnement des promoteurs sénégalais établis en France, porteur de projets d’investissements économique privés au Sénégal ; la mobilisation de la diaspora hautement qualifiée pour la réalisation de mission de courte durée ; le financement de projets de développement local dans les régions d’origine des migrants ; la mobilisation de la jeunesse sénégalaise établie en France dans des action de développement dans les régions d’origine de leur parent et la mise en œuvre d’une action sectorielle de contribution au désenclavement numérique des régions périphériques du Sénégal.
Selon Abdoulaye Diop, la première phase de ce projet a donné pleine et entière satisfaction par les actions de développement qui ont été réalisées par les migrants dans les régions de Matam, Tambacounda, Saint-Louis et Louga dans des secteurs sociaux tels que l’éducation, la santé et l’hydraulique rurale.
«La deuxième convention permettra dans la période 2009-2011, de renouveler l’expérience concluante de la première phase tout en intégrant de nouvelles composantes qui prennent en compte la dimension des jeunes enfants issus de parents émigrés pour participer à des actions de développement au Sénégal et le combat contre la facture numérique, pour les enfants des régions enclavées» a indiqué le ministre de l’Economie et des Finances.
Jean-Christophe Rufin, l’ambassadeur de France au Sénégal s’est félicité de l’engagement des ressortissants sénégalais établis en France dans le développement économique et social de leur pays d’origine. Il a révélé qu’avec un budget de 2,5 millions d’euros et 5000 ressortissants sénégalais ayant pris part, ce projet a été un succès. « 197 sénégalais établis en France ont pu réaliser leurs ambitions en s’intégrant dans le tissu économique à travers des investissements à distance ou dans le cadre d’une réinstallation. Il en est de même de la catégorie des sénégalais hautement qualifiés qui ont saisi l’opportunité de mettre à la disposition de leur pays d’origine, tout leur savoir faire, leur compétence et leurs expertises » a dit Jean-Christophe Rufin.
Le ministre d’Etat, ministre de l’économie et des finances a, par ailleurs, tenté de rassurer: « Nous avons déjà inscrit la contrepartie sénégalaise, nécessaire à la bonne exécution de ces projets. Nous veillerons également à ce que l’administration sénégalaise et particulièrement le ministère en charge de ce secteur soit mieux impliqués dans la mise en œuvre de ces projets».
S’articulant autour de cinq axes, le programme d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement avec un budget de neuf millions d’euros vient consolider le Projet « Initiatives de Co-développement.
Ces cinq axes sont : l’accompagnement des promoteurs sénégalais établis en France, porteur de projets d’investissements économique privés au Sénégal ; la mobilisation de la diaspora hautement qualifiée pour la réalisation de mission de courte durée ; le financement de projets de développement local dans les régions d’origine des migrants ; la mobilisation de la jeunesse sénégalaise établie en France dans des action de développement dans les régions d’origine de leur parent et la mise en œuvre d’une action sectorielle de contribution au désenclavement numérique des régions périphériques du Sénégal.
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