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Un avion militaire médicalisé libyen s'est écrasé dans la nuit du 20 au 21 février en Tunisie dans la région de Grombalia, à 40 kilomètres au sud de Tunis, tuant ses onze passagers, selon la protection civile.
"L'avion est tombé à 01H30 (00H30 GMT) du matin (...) onze personnes étaient à son bord. Trois médecins, deux patients et six membres d'équipage", a dit le porte-parole de la protection civile, Mongi el-Kadhi. "L'avion a entièrement pris feu, la protection civile s'est rendue sur les lieux et a sorti les dépouilles calcinées" de l'épave, a-t-il ajouté.
L'appareil, un bimoteur à hélice de conception soviétique, s'est écrasé dans un champ aux abords du village de Nianou, mais il a évité les habitations. Selon un représentant de la protection civile sur le site de l'accident, le pilote a indiqué à la tour de contrôle de l'aéroport de Tunis qu'il avait subi une panne de moteur, juste avant de disparaître des radars de contrôle.
À l'aube, les pompiers et policiers tunisiens ont commencé les recherches pour tenter de trouver les boîtes noires susceptibles de déterminer les causes de l'accident, selon l'AFP. Les corps ont pour leur part été transportés vers un hôpital de la capitale tunisienne. Aucune précision sur les identités des victimes n'a été communiquée dans l'immédiat.
"L'avion est tombé à 01H30 (00H30 GMT) du matin (...) onze personnes étaient à son bord. Trois médecins, deux patients et six membres d'équipage", a dit le porte-parole de la protection civile, Mongi el-Kadhi. "L'avion a entièrement pris feu, la protection civile s'est rendue sur les lieux et a sorti les dépouilles calcinées" de l'épave, a-t-il ajouté.
L'appareil, un bimoteur à hélice de conception soviétique, s'est écrasé dans un champ aux abords du village de Nianou, mais il a évité les habitations. Selon un représentant de la protection civile sur le site de l'accident, le pilote a indiqué à la tour de contrôle de l'aéroport de Tunis qu'il avait subi une panne de moteur, juste avant de disparaître des radars de contrôle.
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