Serigne Bassirou Gueye réclame des têtes, suite au crash d'un l’aéronef de Sénégal Air, qui a occasionné la mort de 7 personnes le 5 septembre 2015. Et pas des moindres. En effet, le Procureur de la République a ouvert une information judiciaire pour homicides involontaires, violations des règles relatives à la conduite et la sécurité d’un aéronef.
Selon « Libération » dans sa parution de ce mardi, le ministère public vise ainsi, Gérald Gabriel Diop (Dg de Sénégalair), Magaye Marame Mdao, Dg et autorité morale de l’Anacim, Mohamed Mansour Sy (Directeur des transports aériens). Mais aussi, Jacob Lèye (contrôleur), El Hadji Mactar Daff (Inspecteur navigabilité) et Mamadou Sy, expert en sécurité. Ils sont tous convoqués par le Doyen des juges, en charge de l’instruction, pour ce 23 mars.
Parallèlement à cette procédure, une information judiciaire de la même nature a été ouverte à Paris. Car l’une des victimes était française. La justice française a envoyé une commission rogatoire à Dakar pour faire exécuter certains actes de procédure. Cette commission rogatoire, communiquée au juge du premier cabinet, devrait être exécutée par la Division des investigations criminelles (DIC) ou la Section de Recherches de Dakar (SR).
Pour rappel, le 5 septembre 2015, l'aéronef Sénégal Air disparaissait aux larges des cotes sénégalaises faisant 7 morts. Un crash dont la responsabilité avait suscité beaucoup de débat. le Rapport du Bureau d’analyse et d’enquête (Bea) a épinglé tantôt l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna), tantôt l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim).
Selon « Libération » dans sa parution de ce mardi, le ministère public vise ainsi, Gérald Gabriel Diop (Dg de Sénégalair), Magaye Marame Mdao, Dg et autorité morale de l’Anacim, Mohamed Mansour Sy (Directeur des transports aériens). Mais aussi, Jacob Lèye (contrôleur), El Hadji Mactar Daff (Inspecteur navigabilité) et Mamadou Sy, expert en sécurité. Ils sont tous convoqués par le Doyen des juges, en charge de l’instruction, pour ce 23 mars.
Parallèlement à cette procédure, une information judiciaire de la même nature a été ouverte à Paris. Car l’une des victimes était française. La justice française a envoyé une commission rogatoire à Dakar pour faire exécuter certains actes de procédure. Cette commission rogatoire, communiquée au juge du premier cabinet, devrait être exécutée par la Division des investigations criminelles (DIC) ou la Section de Recherches de Dakar (SR).
Pour rappel, le 5 septembre 2015, l'aéronef Sénégal Air disparaissait aux larges des cotes sénégalaises faisant 7 morts. Un crash dont la responsabilité avait suscité beaucoup de débat. le Rapport du Bureau d’analyse et d’enquête (Bea) a épinglé tantôt l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna), tantôt l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim).
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