Selon le président togolais, Faure Gnassingbé, les chefs d’Etat se laissent encore quatre jours, donc jusqu’au 19 janvier, pour trouver une solution politique à la crise en Gambie. C’est un peu le bilan de ce mini-sommet en marge de la rencontre Afrique-France de Bamako. Après, la Cédéao a envisagé un plan d'action pour lequel elle n'a pas donné plus de détails. La Cédéao envisage un plan d'action pour lequel elle n'a pas donné plus de détails. Si Yahya Jammeh « ne cède pas, la deuxième solution, c’est de l’y contraindre. Et donc le 19, vous verrez, il y a toute une stratégie qui a été arrêtée », a déclaré le président de la commission de l’instance ouest-africaine, Marcel Alain de Souza.
Ces derniers jours, une mission de la Cédéao s’est rendue à Banjul pour tenter de trouver une sortie à la crise politique que connaît la Gambie depuis la défaite électorale du président Jammeh qui pourtant s’accroche au pouvoir. Mais ce nouveau déplacement n’a pas permis de faire céder Yahya Jammeh.
Vendredi soir, le ministre des Affaires étrangères nigérian, Geoffrey Onyeama avait indiqué que l’ensemble des chefs d’Etat de la Cédéao présents à Bamako avaient demandé à rencontrer le président Barrow. C’est donc en concertation avec le président élu, mais aussi Yahya Jammeh, que la venue du premier à Bamako a été organisée au Mali.
Personnage central du sommet
Il a tout de même fallu plusieurs heures pour avoir la confirmation officielle de la présence d’Adama Barrow à Bamako. Et si le président élu a bien été dans la salle pendant la cérémonie inaugurale, le siège de la Gambie à la tribune est resté vide. Il ne doit, dans tous les cas, ne prendre ses fonctions que le 19 janvier prochain. « Nous l’avons accueilli et c’est une reconnaissance de facto », a déclaré lors de la conférence de presse finale IBK qui a souligné que c’était un acte fort posé par l’ensemble des dirigeants présents.
Ces derniers jours, une mission de la Cédéao s’est rendue à Banjul pour tenter de trouver une sortie à la crise politique que connaît la Gambie depuis la défaite électorale du président Jammeh qui pourtant s’accroche au pouvoir. Mais ce nouveau déplacement n’a pas permis de faire céder Yahya Jammeh.
Vendredi soir, le ministre des Affaires étrangères nigérian, Geoffrey Onyeama avait indiqué que l’ensemble des chefs d’Etat de la Cédéao présents à Bamako avaient demandé à rencontrer le président Barrow. C’est donc en concertation avec le président élu, mais aussi Yahya Jammeh, que la venue du premier à Bamako a été organisée au Mali.
Personnage central du sommet
Il a tout de même fallu plusieurs heures pour avoir la confirmation officielle de la présence d’Adama Barrow à Bamako. Et si le président élu a bien été dans la salle pendant la cérémonie inaugurale, le siège de la Gambie à la tribune est resté vide. Il ne doit, dans tous les cas, ne prendre ses fonctions que le 19 janvier prochain. « Nous l’avons accueilli et c’est une reconnaissance de facto », a déclaré lors de la conférence de presse finale IBK qui a souligné que c’était un acte fort posé par l’ensemble des dirigeants présents.
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