Le ministre du Tourisme Mame Mbaye n’a pas mis du temps pour répliquer suite aux différentes critiques sur l’ouverture du nouvel Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). Le gouvernement de Macky Sall est accusé d’avoir précipité l’ouverture de l’aéroport de Diass. Ce qui n’est pas du gout du ministre du Tourisme.
«Les transports aériens constituent un monde organisé, depuis des décennies. N’est pas expert qui veut. Je vois beaucoup de commentaires, on parle de précipitation. Il y a des gens qualifiés qui peuvent aborder ce sujet de façon lucide, honnête, transparente pour la sécurité de la navigation aérienne. Accuser le gouvernement d’avoir précipité l’ouverture, c’est méconnaître », déplore Mame Mbaye Niang.
Pour lui, « malheureusement, ceux qui parlent ne prennent pas le temps de chercher. J’en appelle à la responsabilité de la presse. Les informations qu’elles diffusent doivent être fondées exclusivement sur de l’expertise avérée ».
Le ministre du Tourisme sert aussi que « l’aviation civile est réglementée par des textes de l’Oaci, en ce qui concerne les aérodromes, les annexes 14 demeurent et restent le seul référentiel. Aujourd’hui, l’annexe 14 de l’Oaci, AIBD en est un duplicata des normes de sécurité respectées. C’est ça la primeur. S’il y avait des problèmes, le transfère n’allait pas se faire ».
« Vous n’entendrez jamais un expert dépositaire de ses qualifications critiquer cet aéroport », tranche-t-il dans les colonnes de "l'As".
«Les transports aériens constituent un monde organisé, depuis des décennies. N’est pas expert qui veut. Je vois beaucoup de commentaires, on parle de précipitation. Il y a des gens qualifiés qui peuvent aborder ce sujet de façon lucide, honnête, transparente pour la sécurité de la navigation aérienne. Accuser le gouvernement d’avoir précipité l’ouverture, c’est méconnaître », déplore Mame Mbaye Niang.
Pour lui, « malheureusement, ceux qui parlent ne prennent pas le temps de chercher. J’en appelle à la responsabilité de la presse. Les informations qu’elles diffusent doivent être fondées exclusivement sur de l’expertise avérée ».
Le ministre du Tourisme sert aussi que « l’aviation civile est réglementée par des textes de l’Oaci, en ce qui concerne les aérodromes, les annexes 14 demeurent et restent le seul référentiel. Aujourd’hui, l’annexe 14 de l’Oaci, AIBD en est un duplicata des normes de sécurité respectées. C’est ça la primeur. S’il y avait des problèmes, le transfère n’allait pas se faire ».
« Vous n’entendrez jamais un expert dépositaire de ses qualifications critiquer cet aéroport », tranche-t-il dans les colonnes de "l'As".
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