D’intenses manœuvres et tractations sont en cours pour le retour de Cheikh Tidiane SY à la tête du ministère de la Justice. Depuis sa démission le jeudi 5 mai dernier, des personnalités du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), note le journal «Le Quotidien» font pression sur le président de la République qui a accepté la démission du ministre de la Justice, garde des sceaux pour qu’il le reprenne dans le gouvernement. Et Abdoulaye Wade aurait même donné son accord à ces personnalités que d’aucuns appellent «les faucons» du pouvoir.
Dans ces manœuvres, on cite l’ancien ministre de l’Energie, Samuel Sarr, Mes Ousmane Ngom, Madické Niang entre autres. Ces ministres et pontes du PDS ont essayé de convaincre le chef de l’Etat en mettant sur le tapie l’ancienneté de leurs relations, la fidélité et la loyauté de Cheikh Tidiane SY. Pour eux, il faut éviter que ce limogeage à la suite d’un mouvement d’humeur des magistrats et des personnels judiciaires, ne constitue un mauvais signal ou précédent pour les autres agents de la fonction publique.
Ces «avocats» de Cheikh Tidiane Sy auprès du président Wade ont brandi comme argument l’utilité de l’ancien ministre de la justice lors de la prochaine présidentielle. «Lors des élections locales de mars 2009, Cheikh Tidiane Sy avait su contre vents et marées, utiliser l’appareil judiciaire pour préserver les intérêts de son camp politique. N’est -ce pas qui peut le plus, peut le moins ? Le président Wade et ses partisans auront besoin d’un homme sur qui ils peuvent compter à l’élection présidentielle de 2012 qui sera pour eux la mère des batailles», a mentionné l’auteur de l’article, Madiambal Diagne.
Dans ces manœuvres, on cite l’ancien ministre de l’Energie, Samuel Sarr, Mes Ousmane Ngom, Madické Niang entre autres. Ces ministres et pontes du PDS ont essayé de convaincre le chef de l’Etat en mettant sur le tapie l’ancienneté de leurs relations, la fidélité et la loyauté de Cheikh Tidiane SY. Pour eux, il faut éviter que ce limogeage à la suite d’un mouvement d’humeur des magistrats et des personnels judiciaires, ne constitue un mauvais signal ou précédent pour les autres agents de la fonction publique.
Ces «avocats» de Cheikh Tidiane Sy auprès du président Wade ont brandi comme argument l’utilité de l’ancien ministre de la justice lors de la prochaine présidentielle. «Lors des élections locales de mars 2009, Cheikh Tidiane Sy avait su contre vents et marées, utiliser l’appareil judiciaire pour préserver les intérêts de son camp politique. N’est -ce pas qui peut le plus, peut le moins ? Le président Wade et ses partisans auront besoin d’un homme sur qui ils peuvent compter à l’élection présidentielle de 2012 qui sera pour eux la mère des batailles», a mentionné l’auteur de l’article, Madiambal Diagne.
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