C'est un véritable défi qui Anna Sémou Faye, toute nouvelle DGPN "un grand corps malade" où croule "les urgences" dont la principale après le scandale de trafic de drogue qui a fini par la souiller est de "redorer le blason".
Et ce, en plus de "corriger les impairs" que déplorent certains membres de ce corps où "il faut grincer pour aller en mission. Le critère de compétence n'est pas mis en avant. Si tu ne grinces pas, tu dois être épauler par un gradé sinon, tu ne pars pas (progresses pas). Contrairement à la gendarmerie ici, tu peux aller (en mission) à plusieures reprises sans que tes autres collègues ne partent même une fois", dénonce un officier sur les colonnes du journal "Le Quotidien" qui souligne que du côté de Direction de Surveillance du Territoire (DST) que celle dont la "compétence et l'intégrité sont reconnus ou presque" est aussi entendue pour "redresser les torts causés aux agents n'ont même pas droit aux primes d'habillement" au moment où leurs collègues de la Brigade d'Intervantion Polyvalente (BIP) y ont droit à hauteur de 60.000 F CFA tous les six mois et des 100.000 F CFA pour les commissaires en plus de la tenue, signale la source qui ne manque pas d'enfoncer le clou avec les "heures supplémentaires" et les "conditions exécrables de travail".
Et ce, en plus de "corriger les impairs" que déplorent certains membres de ce corps où "il faut grincer pour aller en mission. Le critère de compétence n'est pas mis en avant. Si tu ne grinces pas, tu dois être épauler par un gradé sinon, tu ne pars pas (progresses pas). Contrairement à la gendarmerie ici, tu peux aller (en mission) à plusieures reprises sans que tes autres collègues ne partent même une fois", dénonce un officier sur les colonnes du journal "Le Quotidien" qui souligne que du côté de Direction de Surveillance du Territoire (DST) que celle dont la "compétence et l'intégrité sont reconnus ou presque" est aussi entendue pour "redresser les torts causés aux agents n'ont même pas droit aux primes d'habillement" au moment où leurs collègues de la Brigade d'Intervantion Polyvalente (BIP) y ont droit à hauteur de 60.000 F CFA tous les six mois et des 100.000 F CFA pour les commissaires en plus de la tenue, signale la source qui ne manque pas d'enfoncer le clou avec les "heures supplémentaires" et les "conditions exécrables de travail".
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