La sud africaine, présidente de jury de Dak’art 2010 Marilyn Martins a donné ses impressions sur les distinctions décernées lors de la 9ème édition de la biennale de l’art africain contemporain. Durant cette rencontre six prix ont été décernés aux différents artistes venant de plusieurs pays d’Afrique.
Apres la cérémonie de remise des prix aux lauréats la présidente du jury Marilyn Martins a déclaré que « les artistes africains qui vivent sur le continent sont défavorisés par rapport à ceux qui sont en Europe». Elle a expliqué que les conditions de travail ne sont pas réunies dans nos pays d’Afrique. Contrairement à ceux de l’occident ou se trouve les grands ateliers de production pour les artistes. Mais elle a souligné que « certains pays comme le Maroc et l’Afrique du Sud se détachent du lot en mettant leurs artistes dans de bonnes conditions de travail ».
Selon Marilyn Martins, l’Afrique est un continent qui regorge beaucoup d’habitants d’origines différentes donc des biennales comme celle de Dak’art sont riches et pressentent des artistes de talents. Elle a confié que pour l’attribution du Grand Prix Léopold Sedar Senghor « les discussions n’ont pas tiré en longueur car le travail du lauréat Moridia Kitengue Banja est de loin le meilleur ». Elle a demandé aux autres participants de revenir pour rendre plus grand cet événement qui valorise les valeurs de la culture africaine.
Me Martins a soutenu que cette biennale est jeune mais à ce rythme, elle sera l’une des plus grande rencontre de l’art africain d’ici quelques années. « En plus les genres de prix décernés aux lauréats permettent à nos artistes de voyager et de bénéficier de différentes expériences à travers le monde » a-t-elle dit.
La biennale est prévue du 7 mai au 7 juin, le thème de cette édition est : Rétrospectives-Perspectives.
Apres la cérémonie de remise des prix aux lauréats la présidente du jury Marilyn Martins a déclaré que « les artistes africains qui vivent sur le continent sont défavorisés par rapport à ceux qui sont en Europe». Elle a expliqué que les conditions de travail ne sont pas réunies dans nos pays d’Afrique. Contrairement à ceux de l’occident ou se trouve les grands ateliers de production pour les artistes. Mais elle a souligné que « certains pays comme le Maroc et l’Afrique du Sud se détachent du lot en mettant leurs artistes dans de bonnes conditions de travail ».
Selon Marilyn Martins, l’Afrique est un continent qui regorge beaucoup d’habitants d’origines différentes donc des biennales comme celle de Dak’art sont riches et pressentent des artistes de talents. Elle a confié que pour l’attribution du Grand Prix Léopold Sedar Senghor « les discussions n’ont pas tiré en longueur car le travail du lauréat Moridia Kitengue Banja est de loin le meilleur ». Elle a demandé aux autres participants de revenir pour rendre plus grand cet événement qui valorise les valeurs de la culture africaine.
Me Martins a soutenu que cette biennale est jeune mais à ce rythme, elle sera l’une des plus grande rencontre de l’art africain d’ici quelques années. « En plus les genres de prix décernés aux lauréats permettent à nos artistes de voyager et de bénéficier de différentes expériences à travers le monde » a-t-elle dit.
La biennale est prévue du 7 mai au 7 juin, le thème de cette édition est : Rétrospectives-Perspectives.
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