Makaïla Nguebla, journaliste-bloggeur tchadien expulsé du Sénégal, vient de bénéficier de l'asile politique de la France.
Réfugié au Sénégal, depuis 2005, le journaliste tchadien est arrêté avant d’être expulsé, le 7 mai dernier vers la Guinée, un « pays qu’il ne connaît pas, où il n’a jamais mis les pieds, où il n’a pas de famille et où sa vie est réellement en danger » selon le comité du Droit d’Asile et Liberté d’Expression , DALE qui était monté au créneau pour condamner « avec la dernière énergie cet expulsion qui ne fait point honneur au Sénégal » et « coïncidait curieusement avec la venue du ministre tchadien de la justice M Jean-Bernard Padaré, officiellement à Dakar pour discuter du dossier de l’ancien président Hissène Habré".
Préoccupés, la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH), Amnesty International Sénégal et la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) qui dénonçaient «une attitude contraire à la tradition de terre d’asile du Sénégal et une atteinte inacceptable aux droits fondamentaux des refugiés et demandeurs d’asile», n’avaient pas manqué de sonner l’alerte et exigé la libération immédiate et sans conditions » en fustigeant «cette arrestation, qui est liée aux activités de journaliste et de bloggeur qui constitue une atteinte grave au droit à la liberté d’opinion et d’expression» de Makaïla Nguebla membre actif de la RADDHO.
Réfugié au Sénégal, depuis 2005, le journaliste tchadien est arrêté avant d’être expulsé, le 7 mai dernier vers la Guinée, un « pays qu’il ne connaît pas, où il n’a jamais mis les pieds, où il n’a pas de famille et où sa vie est réellement en danger » selon le comité du Droit d’Asile et Liberté d’Expression , DALE qui était monté au créneau pour condamner « avec la dernière énergie cet expulsion qui ne fait point honneur au Sénégal » et « coïncidait curieusement avec la venue du ministre tchadien de la justice M Jean-Bernard Padaré, officiellement à Dakar pour discuter du dossier de l’ancien président Hissène Habré".
Préoccupés, la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH), Amnesty International Sénégal et la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) qui dénonçaient «une attitude contraire à la tradition de terre d’asile du Sénégal et une atteinte inacceptable aux droits fondamentaux des refugiés et demandeurs d’asile», n’avaient pas manqué de sonner l’alerte et exigé la libération immédiate et sans conditions » en fustigeant «cette arrestation, qui est liée aux activités de journaliste et de bloggeur qui constitue une atteinte grave au droit à la liberté d’opinion et d’expression» de Makaïla Nguebla membre actif de la RADDHO.
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