Je viens d’en être informé à Paris par un proche, un ami, un fidèle d’hier et d’aujourd’hui de Sédar : Gérard BOSIO.
Il a tenté avec des amis et fort difficilement de récupérer quelques objets en les achetant, dès lors qu’il a pu être à temps, au courant de la vente.
Ainsi va la vie.
Après la disparition de Colette, tout était devenu compliqué et difficile à suivre à démêler, à comprendre, à maîtriser. Sans compter que juridiquement, nous n’avions aucune information de ce qui se passait et comment cela se passait à temps.
Par respect, un héritage est un héritage. C’est la famille qui est concernée. Pas les amis, pas les fidèles, pas les disciples. Chacun reste à sa place. Par respect.
Ce patrimoine vendu aux enchères chez la société Ader en France, , nous échappe donc.
J’en ai informé le président de la Fondation Senghor Moustapha Niass. Nous cherchions déjà à savoir, depuis longtemps, où est passée l’épée d’académicien de Sédar. En vain. Tout cela est bien triste. Mais nous ne sommes pas responsables. Nous prenons acte. Pour l’histoire.
Une page s’est tournée. La mort est passée par là. Mais Senghor n’est pas mort. Il survit et il survivra à la mort pour l’éternité. C’est d’ailleurs avec sa mort, que commence sa vraie vie. Sa belle et infinie légende ne fait que commencer.
Si le patrimoine de Verson, en France, a pu nous échapper, rendons grâce à Dieu d’avoir gardé celui des « Dents de la mer » à Dakar, au Sénégal, chez nous. La maison de Senghor est devenue un musée visité avec tant de bonheur. C’est déjà une grande victoire.
Par ailleurs, sa Fondation vit et perpétue sa pensée et son œuvre. Sans hésiter, nous devons en remercier de tout cœur le Président Macky Sall qui lui apporte une attention émouvante et toute particulière dans des moments pénibles pour sa gestion et sa survie.
Moustapha Niasse le précieux président de son Conseil d’Administration reste admirable et si généreux dans sa posture de veille et de sauvegarde.
S’y ajoutent le Directeur général de la Fondation, Raphaël NDIAYE ainsi que tous les valeureux membres de son Conseil d’Administration. Cela devait être dit et dit bien haut.
Senghor restera une belle et noble histoire de notre vie et de celle de notre si cher pays, le Sénégal !
Par Amadou lamine sall, ce dimanche 26 juillet 2020
Il a tenté avec des amis et fort difficilement de récupérer quelques objets en les achetant, dès lors qu’il a pu être à temps, au courant de la vente.
Ainsi va la vie.
Après la disparition de Colette, tout était devenu compliqué et difficile à suivre à démêler, à comprendre, à maîtriser. Sans compter que juridiquement, nous n’avions aucune information de ce qui se passait et comment cela se passait à temps.
Par respect, un héritage est un héritage. C’est la famille qui est concernée. Pas les amis, pas les fidèles, pas les disciples. Chacun reste à sa place. Par respect.
Ce patrimoine vendu aux enchères chez la société Ader en France, , nous échappe donc.
J’en ai informé le président de la Fondation Senghor Moustapha Niass. Nous cherchions déjà à savoir, depuis longtemps, où est passée l’épée d’académicien de Sédar. En vain. Tout cela est bien triste. Mais nous ne sommes pas responsables. Nous prenons acte. Pour l’histoire.
Une page s’est tournée. La mort est passée par là. Mais Senghor n’est pas mort. Il survit et il survivra à la mort pour l’éternité. C’est d’ailleurs avec sa mort, que commence sa vraie vie. Sa belle et infinie légende ne fait que commencer.
Si le patrimoine de Verson, en France, a pu nous échapper, rendons grâce à Dieu d’avoir gardé celui des « Dents de la mer » à Dakar, au Sénégal, chez nous. La maison de Senghor est devenue un musée visité avec tant de bonheur. C’est déjà une grande victoire.
Par ailleurs, sa Fondation vit et perpétue sa pensée et son œuvre. Sans hésiter, nous devons en remercier de tout cœur le Président Macky Sall qui lui apporte une attention émouvante et toute particulière dans des moments pénibles pour sa gestion et sa survie.
Moustapha Niasse le précieux président de son Conseil d’Administration reste admirable et si généreux dans sa posture de veille et de sauvegarde.
S’y ajoutent le Directeur général de la Fondation, Raphaël NDIAYE ainsi que tous les valeureux membres de son Conseil d’Administration. Cela devait être dit et dit bien haut.
Senghor restera une belle et noble histoire de notre vie et de celle de notre si cher pays, le Sénégal !
Par Amadou lamine sall, ce dimanche 26 juillet 2020
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