1.500 cas enregistrés dans notre pays, l’hémophilie reste jusqu’ici méconnue par la plupart des sénégalais. Considérée comme une pathologie héréditaire, cette maladie touche essentiellement les articulations avec les inflammations. « Dès fois, elle peut vous clouer au lit pendant des semaines», se plaint le Président de l’association sénégalaise des hémophiles.
« La vie avec cette maladie est très compliquée parce qu’elle te conduit à faire souvent attention, à ne pas vraiment faire ce que tu voudrais faire. On arrive, quand même, à faire avec puisse que c’est inévitable », explique Abdoulaye Loum qui vit avec cette maladie depuis la naissance « puisse que c’est héréditaire».
Poursuivant, l’hémophile ajoute que «la prise en charge se fait au niveau du Centre national de transfusion sanguine (CNTS) à travers les dons de médicaments que (les malades) reçoivent de la fédération mondiale qui (les) aide à atténuer la souffrance parce que quand il y a saignement souvent, c’est accompagné de douleurs ».
Face au manque de poches de sang noté parfois au Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS), il soutient que «c’est généralement compliqué pour (eux) ». « Imaginez que vous allez au niveau du centre pour prendre des facteurs et qu’on vous dise qu’il n’y a pas, c’est un risque énorme», lance-t-il. Avant de tempérer : «Mais jusque –là, on rend grâce à Dieu car il n’y a pas encore eu de cas critiques par rapport à cela (grâce) à une gestion derrière. Il y a les dons que nous recevons de la fédération, et c’est ce qui nous permet de pouvoir prendre en charge les différentes urgences ».
A l’en croire, il n’y a pas de régime alimentaire bien définit pour les hémophiles. Mais, «il faut savoir gérer et vivre la maladie ». Selon ces propres, « cela ne doit pas vous empêcher de vivre votre vie et de réaliser vos rêves ».
Mais, «c’est une maladie compliquée. Dès fois, vous êtes cloué au lit pendant des semaines parce que ça touche essentiellement les articulations avec les inflammations mais avec l’entourage et la famille qui nous soutient, on arrive vraiment à bien vivre cette maladie», dit-il.
« La vie avec cette maladie est très compliquée parce qu’elle te conduit à faire souvent attention, à ne pas vraiment faire ce que tu voudrais faire. On arrive, quand même, à faire avec puisse que c’est inévitable », explique Abdoulaye Loum qui vit avec cette maladie depuis la naissance « puisse que c’est héréditaire».
Poursuivant, l’hémophile ajoute que «la prise en charge se fait au niveau du Centre national de transfusion sanguine (CNTS) à travers les dons de médicaments que (les malades) reçoivent de la fédération mondiale qui (les) aide à atténuer la souffrance parce que quand il y a saignement souvent, c’est accompagné de douleurs ».
Face au manque de poches de sang noté parfois au Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS), il soutient que «c’est généralement compliqué pour (eux) ». « Imaginez que vous allez au niveau du centre pour prendre des facteurs et qu’on vous dise qu’il n’y a pas, c’est un risque énorme», lance-t-il. Avant de tempérer : «Mais jusque –là, on rend grâce à Dieu car il n’y a pas encore eu de cas critiques par rapport à cela (grâce) à une gestion derrière. Il y a les dons que nous recevons de la fédération, et c’est ce qui nous permet de pouvoir prendre en charge les différentes urgences ».
A l’en croire, il n’y a pas de régime alimentaire bien définit pour les hémophiles. Mais, «il faut savoir gérer et vivre la maladie ». Selon ces propres, « cela ne doit pas vous empêcher de vivre votre vie et de réaliser vos rêves ».
Mais, «c’est une maladie compliquée. Dès fois, vous êtes cloué au lit pendant des semaines parce que ça touche essentiellement les articulations avec les inflammations mais avec l’entourage et la famille qui nous soutient, on arrive vraiment à bien vivre cette maladie», dit-il.
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