La dette du Sénégal s’accumule à une vitesse très accélérée. De 1963,8 milliards en 2009, elle est estimée à 2190,1 milliards pour 2012. Ainsi le comité national de la dette qui a communiqué ce rapport souligne, la montée des pays arabes comme principaux bailleurs de fonds du Sénégal, au détriment des partenaires traditionnels européens. Aussi la dette extérieure est de 80°/° de la dette totale, soit 1751,8 contre celle intérieure qui représente les 20°/° de la dette, soit 438,3 milliards.
Selon le journal l’As qui a obtenu une copie de ce communiqué, le Sénégal aurait changé de bailleurs, car les pays arabes, tels que le Koweït et l’Arabie Saoudite, représentent, les 43°/° de la dette bilatérale, alors que les pays de l’Ocde, avec la France en tête ne représentent que les 36°/°.
D’après le rapport d’analyse sur la viabilité de la dette publique réalisé en septembre 2011, la dette publique du Sénégal est stoppée au 31 décembre 2010 à 2190,1 milliards de FCFA contre 1963,8milliards en 2009. Ce qui fait une augmentation de 227milliards en juste un an.
Selon le journal l’As qui a obtenu une copie de ce communiqué, le Sénégal aurait changé de bailleurs, car les pays arabes, tels que le Koweït et l’Arabie Saoudite, représentent, les 43°/° de la dette bilatérale, alors que les pays de l’Ocde, avec la France en tête ne représentent que les 36°/°.
D’après le rapport d’analyse sur la viabilité de la dette publique réalisé en septembre 2011, la dette publique du Sénégal est stoppée au 31 décembre 2010 à 2190,1 milliards de FCFA contre 1963,8milliards en 2009. Ce qui fait une augmentation de 227milliards en juste un an.
Autres articles
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)
-
Déficit budgétaire du Sénégal : les stratégies du gouvernement pour remonter la pente, selon Abdourahmane Sarr
-
Croissance du secteur bancaire et de la microfinance : une progression de 8,8% saluée par le ministère des Finances