Au-delà du choix d’une personnalité forte et neutre pour piloter le dialogue national, il faut une bonne méthodologie. C’est la conviction de l’expert électoral, Ndiaga Sylla, qui est d’avis qu’il faut un champ thématique claire pour un consensus.
« Il est extrêmement utile de définir une méthode de dialogue politique et il est extrêmement important qu’on puisse choisir de forte personnalité connue pour leur intégrité, leur expérience et leur probité morale pour d’abord conduire le dialogue », avance-t-il.
L’invité de l’émission Objection sur Sud Fm de ce dimanche 19 mai 2019 est d’avis qu’: « Au-delà de l’équipe chargée de piloter le dialogue, il faut définir des objectifs clairs, il faut une bonne méthodologie parce qu’aujourd’hui, nous savons que les concertations abordent les questions liées simplement au processus électoral. Il faut définir un champ thématique claire, définir donc un calendrier précis de travail ».
Ndiaga Sylla de rappeler que : « Depuis presque 10 ans, le ministre de l’Intérieur ne préside plus les concertations autour du processus électoral, parce que" , explique-t-il, « la dernière fois que le ministre a présidé, c’est en 2009 et y avait eu un blocage et il a fallu attendre en 2011, à la suite en place d’un Comité de pilotage pour que le président du comité de Veille et son vice-président président les travaux ».
« Il est extrêmement utile de définir une méthode de dialogue politique et il est extrêmement important qu’on puisse choisir de forte personnalité connue pour leur intégrité, leur expérience et leur probité morale pour d’abord conduire le dialogue », avance-t-il.
L’invité de l’émission Objection sur Sud Fm de ce dimanche 19 mai 2019 est d’avis qu’: « Au-delà de l’équipe chargée de piloter le dialogue, il faut définir des objectifs clairs, il faut une bonne méthodologie parce qu’aujourd’hui, nous savons que les concertations abordent les questions liées simplement au processus électoral. Il faut définir un champ thématique claire, définir donc un calendrier précis de travail ».
Ndiaga Sylla de rappeler que : « Depuis presque 10 ans, le ministre de l’Intérieur ne préside plus les concertations autour du processus électoral, parce que" , explique-t-il, « la dernière fois que le ministre a présidé, c’est en 2009 et y avait eu un blocage et il a fallu attendre en 2011, à la suite en place d’un Comité de pilotage pour que le président du comité de Veille et son vice-président président les travaux ».
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