Aujourd’hui internationalement reconnu pour son engagement pour les musiques actuelles en Afrique, Didier Awadi continue toujours d’apporter son soutien aux demandeurs. Et cette fois-ci, c’est au tour des réalisateurs gambiens qu’ils s’agissent dans le cadre de la cinquième édition du festival Ciné Droit Libre 2018, à travers son Studio dénommé « Sankara ».
Ainsi, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de ce festival annuel qui s'est déroulé à Dakar mercredi dernier, l’artiste sénégalais qui prenait part à cette manifestation culturelle a salué cet engagement des jeunes réalisateurs avant de livrer ses impressions sur la situation politique du pays.
Soif de justice et d’équité, le rappeur Didier Awadi pense que ce festival d’où le thème choisi repose sur la justice vient à son heure. Au moment où les Sénégalais vivent dans des restrictions inexplicables de certains de leurs droits comme celui de manifester.
Ainsi, le « super Ndanaane » du Rap sénégalais n’a pas hésité de hisser la voix pour se faire entendre. « Je pense que l’opposition ne doit pas être dans une situation de restriction de ces droits surtout quand ils sont totalement légitimes. Ils sont dans leur rôle. Et comme le disait Thomas Sankara, quand le peuple se met debout, l’impérialisme tremble », avertit l’artiste.
Ainsi, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de ce festival annuel qui s'est déroulé à Dakar mercredi dernier, l’artiste sénégalais qui prenait part à cette manifestation culturelle a salué cet engagement des jeunes réalisateurs avant de livrer ses impressions sur la situation politique du pays.
Soif de justice et d’équité, le rappeur Didier Awadi pense que ce festival d’où le thème choisi repose sur la justice vient à son heure. Au moment où les Sénégalais vivent dans des restrictions inexplicables de certains de leurs droits comme celui de manifester.
Ainsi, le « super Ndanaane » du Rap sénégalais n’a pas hésité de hisser la voix pour se faire entendre. « Je pense que l’opposition ne doit pas être dans une situation de restriction de ces droits surtout quand ils sont totalement légitimes. Ils sont dans leur rôle. Et comme le disait Thomas Sankara, quand le peuple se met debout, l’impérialisme tremble », avertit l’artiste.
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