Quelques jours après la fracassante sortie du patronat hôtelier, Alioune Sarr, ministre du Tourisme, reconnait que « tout n’a pas était parfait dans la mise en place du crédit hôtelier touristique. Ce qui lui avait valu des critiques » de la part du patron du syndicat de l’industrie Touristique et hôtelière, Mamadou Racine Sy.
« Le président de la République avait prévu de mettre en place une ligne de crédit de 50 milliards de F CFA pour le secteur privé touristique et 25 milliards de F CFA pour le secteur du transport aérien. On devait le mettre en place à travers un effet de levier. Et le ministère des Finances que je remercie, et je félicite au passage a également mis des ressources dans les banques. Mais vous savez les questions de levier, il y a souvent les questions de garantie qui sont souvent mises sur la table et que nos paiements ont souvent des difficultés à couvrir », a déclaré Alioune Sarr.
Poursuivant ses propos, le ministre rassure : « Prochainement, je vais recevoir Racine Sy et l’ensemble du secteur privé pour que nous puissions ensemble, comme ça été fait depuis le début, les accompagner. Permettre à ce que notre pays soit une destination touristique de référence », dit-il au micro de la RFM.
« Le président de la République avait prévu de mettre en place une ligne de crédit de 50 milliards de F CFA pour le secteur privé touristique et 25 milliards de F CFA pour le secteur du transport aérien. On devait le mettre en place à travers un effet de levier. Et le ministère des Finances que je remercie, et je félicite au passage a également mis des ressources dans les banques. Mais vous savez les questions de levier, il y a souvent les questions de garantie qui sont souvent mises sur la table et que nos paiements ont souvent des difficultés à couvrir », a déclaré Alioune Sarr.
Poursuivant ses propos, le ministre rassure : « Prochainement, je vais recevoir Racine Sy et l’ensemble du secteur privé pour que nous puissions ensemble, comme ça été fait depuis le début, les accompagner. Permettre à ce que notre pays soit une destination touristique de référence », dit-il au micro de la RFM.
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