« A l’heure des grands ensembles pour le développement et le rayonnement de notre cinématographie sur l’échiquier du continent africain en particulier et du monde en général, l’actuel président de l’Association des cinéastes sénégalais (Cinéseas), Monsieur Cheikh Ngaïdo Bâ, lui, semble dépassé par le trin de l’Histoire », écrit le Comité pour la relance du cinéma et la redynamisation de l’Association.
C’est en réaction à la sortie de Cheikh Ngaïdo Bâ, le président de l’Association des cinéastes sénégalais, « a réagi tapageusement à la décision du président Abdoulaye Wade, de confier à un consultant français l’étude de faisabilité de la mise en place d’un complexe cinématographique devant comporter, entre autres, un studio de post production, un centre de formation aux métiers du cinéma et une salle de projection de prestige ».
Avec la loi sur l’industrie de la cinématographie votée depuis 2002, ce comité accuse leur président d’être à l’origine de cet état de fait: « nous, Comité pour la relance du cinéma et la redynamisation de l’Association, pensions qu’après la lettre ouverte adressée au Président de la République par voie de presse, sur l’impasse dans laquelle était engagé notre secteur, que Monsieur Cheikh Ngaïdo Bâ allait se ressaisir. Il a préféré, à la place, sous l’étiquette de président des cinéastes, faire fructifier ses affaires personnelles et œuvre à une rétention d’informations sans pareil, privilégiant ses multiples déplacements à l’étranger pour on ne sait quels rapports avec ses charges… ».
Les membres du comité n’ont pas manqué d’attaquer les options politiques de leur président « voulant à tout moment invoquer les années… 1700 de la cinématographie, Cheikh Ngaïdo Bâ, vert hier, bleu aujourd’hui, semble ne pas être au diapason de ce secteur qui nous est si cher, nous cinéastes, ce secteur dans lequel nous aspirons nous épanouir ».
Pour le comité le communiqué est signé par: Moustaph Cissé, Clarence Thomas Delgado, Joseph Sagna, Amadou Thior, Mansour Sora Wade, Alioune Dapina Mbaye
C’est en réaction à la sortie de Cheikh Ngaïdo Bâ, le président de l’Association des cinéastes sénégalais, « a réagi tapageusement à la décision du président Abdoulaye Wade, de confier à un consultant français l’étude de faisabilité de la mise en place d’un complexe cinématographique devant comporter, entre autres, un studio de post production, un centre de formation aux métiers du cinéma et une salle de projection de prestige ».
Avec la loi sur l’industrie de la cinématographie votée depuis 2002, ce comité accuse leur président d’être à l’origine de cet état de fait: « nous, Comité pour la relance du cinéma et la redynamisation de l’Association, pensions qu’après la lettre ouverte adressée au Président de la République par voie de presse, sur l’impasse dans laquelle était engagé notre secteur, que Monsieur Cheikh Ngaïdo Bâ allait se ressaisir. Il a préféré, à la place, sous l’étiquette de président des cinéastes, faire fructifier ses affaires personnelles et œuvre à une rétention d’informations sans pareil, privilégiant ses multiples déplacements à l’étranger pour on ne sait quels rapports avec ses charges… ».
Les membres du comité n’ont pas manqué d’attaquer les options politiques de leur président « voulant à tout moment invoquer les années… 1700 de la cinématographie, Cheikh Ngaïdo Bâ, vert hier, bleu aujourd’hui, semble ne pas être au diapason de ce secteur qui nous est si cher, nous cinéastes, ce secteur dans lequel nous aspirons nous épanouir ».
Pour le comité le communiqué est signé par: Moustaph Cissé, Clarence Thomas Delgado, Joseph Sagna, Amadou Thior, Mansour Sora Wade, Alioune Dapina Mbaye
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