Le Docteur en Sciences politiques, René Massiga Diouf à fait la présentation et la dédicace de son livre intitulé : « Pouvoir et justice en Afrique du Sud et au Togo, les marches de la démocratie », ce samedi à Dakar. Un ouvrage qui s’inscrit dans le cadre d’une analyse globale qui en vérité se retrouve dans un certain nombre de paradigmes. La première chose est relative à l’avancée démocratique et qui a caractérisé un peu l’Afrique du Sud, considérée dans le livre comme « les marches de la démocratie ». Pour l’auteur, ces marches ne sont jamais achevées. Car dit-il, « c’est juste un processus vers lequel on tend et que la démocratie n’est jamais une donnée naturelle ». Un premier élément sur lequel mise l’auteur, en étudiant ces systèmes politiques.
Selon Dr Massiga Diouf, il y a des contradictions internes qui minent le fonctionnement de ces systèmes politiques. « Pour l’Afrique du Sud, c’est la démocratie raciale pendant une longue période. Une démocratie dont le socle a été l’exclusion d’une majeure partie de la population (noir). Ce qui a fait que nous considérons le système politique comme étant inclusif », dit-il.
Parlant du Togo, Dr Diouf soutient que « la situation perdure encore sur une longue période. Il y a un peu la fermeture du système politique. Mais en 1957, il faut relever, le fait que le Togo tendait vers la démocratie à travers une vie politique extrêmement dynamique. Malheureusement, cette période n’a pas assez duré du fait de l’impossibilité pour les acteurs politiques à s’entendre sur quelque chose qui pourrait amener le pays vers un avenir démocratique affirmé ».
En effet, Dr Massiga Diouf dans ce livre, étudie la spécificité des systèmes politiques considérés et en même temps il touche du doigt les problèmes auxquels ils sont confrontés.
Pour lui, la solution pérenne, c’est l’ouverture politique qui permet l’expression de toutes les composantes de la société, et également de régler certains conflits qui se poseraient et dont la base, l’origine pourrait être l’exclusion de couches qui sont partie prenante de la vie de la nation.
Selon Dr Massiga Diouf, il y a des contradictions internes qui minent le fonctionnement de ces systèmes politiques. « Pour l’Afrique du Sud, c’est la démocratie raciale pendant une longue période. Une démocratie dont le socle a été l’exclusion d’une majeure partie de la population (noir). Ce qui a fait que nous considérons le système politique comme étant inclusif », dit-il.
Parlant du Togo, Dr Diouf soutient que « la situation perdure encore sur une longue période. Il y a un peu la fermeture du système politique. Mais en 1957, il faut relever, le fait que le Togo tendait vers la démocratie à travers une vie politique extrêmement dynamique. Malheureusement, cette période n’a pas assez duré du fait de l’impossibilité pour les acteurs politiques à s’entendre sur quelque chose qui pourrait amener le pays vers un avenir démocratique affirmé ».
En effet, Dr Massiga Diouf dans ce livre, étudie la spécificité des systèmes politiques considérés et en même temps il touche du doigt les problèmes auxquels ils sont confrontés.
Pour lui, la solution pérenne, c’est l’ouverture politique qui permet l’expression de toutes les composantes de la société, et également de régler certains conflits qui se poseraient et dont la base, l’origine pourrait être l’exclusion de couches qui sont partie prenante de la vie de la nation.
Autres articles
-
Émigration irrégulière : 17 ressortissants du village de Bapalel portés disparus
-
Droits des migrants : une rencontre panafricaine à Dakar pour éradiquer la xénophobie
-
Inondations à Bakel et Matam : le Gaipes casque 37 millions pour les sinistrés
-
Lutte contre le trafic de drogue : quatre personnes arrêtées avec 170 kg de chanvre indien
-
Plainte contre Babacar Diop pour détournement d'1 milliard : ASPRODEB dément l'arrestation de son président