Des propos bruts. Nicolas Sarkozy a commenté l'actualité devant les cadres du groupe Altrad, une entreprise de production et de distribution de matériel pour le bâtiment, à Montpellier (Hérault), mercredi 19 décembre. L'ancien président était accompagné de Tony Blair, ex-Premier ministre britannique, indique Midi libre, qui rapporte les propos de Nicolas Sarkozy.
L'ancien chef de l'Etat s'est livré à une attaque en règle de Donald Trump : "J'étais face à lui pour les cérémonies du 11-Novembre. Je ne peux pas, moi. C'est trop. Je respecte le vote des Américains. Mais c’est trop, quand même." Et Nicolas Sarkozy d'ajouter : "Trump appartient à une catégorie très rare : les gens qui ne s’améliorent pas et qui deviennent pires."
L'ex-président de la République a également évoqué le mouvement des "gilets jaunes" ainsi que le "grand débat national" promis par l'exécutif. "Nous sommes à l’arrêt. Le monde accélère à une vitesse stupéfiante et nous, non seulement nous sommes à l’arrêt, mais nous reculons", a déclaré Nicolas Sarkozy. "Là, on va discuter, on va demander l’avis aux gens dans la rue pour faire quelque chose. Avec ça, vous ne ferez plus rien ! Si, pour faire quelque chose, tout le monde doit être d’accord, restez couchés, parce que personne n’est jamais d’accord", a-t-il ajouté.
L'ancien chef de l'Etat s'est livré à une attaque en règle de Donald Trump : "J'étais face à lui pour les cérémonies du 11-Novembre. Je ne peux pas, moi. C'est trop. Je respecte le vote des Américains. Mais c’est trop, quand même." Et Nicolas Sarkozy d'ajouter : "Trump appartient à une catégorie très rare : les gens qui ne s’améliorent pas et qui deviennent pires."
L'ex-président de la République a également évoqué le mouvement des "gilets jaunes" ainsi que le "grand débat national" promis par l'exécutif. "Nous sommes à l’arrêt. Le monde accélère à une vitesse stupéfiante et nous, non seulement nous sommes à l’arrêt, mais nous reculons", a déclaré Nicolas Sarkozy. "Là, on va discuter, on va demander l’avis aux gens dans la rue pour faire quelque chose. Avec ça, vous ne ferez plus rien ! Si, pour faire quelque chose, tout le monde doit être d’accord, restez couchés, parce que personne n’est jamais d’accord", a-t-il ajouté.
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