La rencontre a eu lieu hier. Mes Ciré Clédor LY, El Hadji Amadou Sall, avocats de Karim, le Procureur spécial, Alioune Ndao près de la CREI, Mes Papa Félix Sow et Aly Fall, conseils de l’Etat du Sénégal, le secrétaire général de la Cour d’Appel de Dakar, Abdoulaye Ndiaye et des éléments de la gendarmerie, tous autour d’une table à la salle 4 qui doit abriter le procès du siècle. Avocats, magistrats et forces de sécurité ont échangé, livre « l’As » sur les derniers réglages et l’organisation. Ce, pendant quatre (4) tours d’horloge.
« Tout est prévu pour qu’il ne s’agisse que d’un procès ordinaire », souffle-t-on à la source. Même si, il en ira autrement dans le cadre du volet sécuritaire. Vers un procès sous haute surveillance dans le mesure que c’est une première au Sénégal qu’un fils d’un président sortant est jugé sous nos cieux et que le père, Wade, en l’occurrence et le Pape du Sopi n’a jusque là pas cessé de dénoncer l’acharnement du régime Sall contre son fils. Dans tous les cas, les forces de l’ordre vont se partager le périmètre du Palais de justice et les éléments du Groupement d’Intervention Mobile (GMI) se positionneront à l’extérieur. Ce, jusqu’aux alentours du garage Lat Dior, à quelques encablures du Tribunal.
La salle 4 qui doit abriter l’audience est certes la plus grande du Palais de Justice mais elle n’en présente pas moins des inconvénients. « Elle n’est pas adéquate pour organiser de grands procès et nous espérons qu’après celui de Karim, une solution sera trouvée et que des aménagements seront faits ». Pis, à six (6) jours du procès, l’installation d’écrans géants n’est toujours pas faite et cela risque de poser beaucoup de problèmes. Pis, à cela s’ajoute la « mauvaise architecture de la salle » qui n’aura sans doute pas assez de places », s’inquiète-t-on par ailleurs. En réponse à ses accusations, une partie du procès de tempérer : « Il ne faut pas chercher un problème là où il n’y en pas. On va procéder de façon intelligente et certainement il y aura une salle prévue pour les témoins ».
Ce qui demeure sûr, c’est que les parties sont convoquées pour le 31 juillet à 10 heures.
« Tout est prévu pour qu’il ne s’agisse que d’un procès ordinaire », souffle-t-on à la source. Même si, il en ira autrement dans le cadre du volet sécuritaire. Vers un procès sous haute surveillance dans le mesure que c’est une première au Sénégal qu’un fils d’un président sortant est jugé sous nos cieux et que le père, Wade, en l’occurrence et le Pape du Sopi n’a jusque là pas cessé de dénoncer l’acharnement du régime Sall contre son fils. Dans tous les cas, les forces de l’ordre vont se partager le périmètre du Palais de justice et les éléments du Groupement d’Intervention Mobile (GMI) se positionneront à l’extérieur. Ce, jusqu’aux alentours du garage Lat Dior, à quelques encablures du Tribunal.
La salle 4 qui doit abriter l’audience est certes la plus grande du Palais de Justice mais elle n’en présente pas moins des inconvénients. « Elle n’est pas adéquate pour organiser de grands procès et nous espérons qu’après celui de Karim, une solution sera trouvée et que des aménagements seront faits ». Pis, à six (6) jours du procès, l’installation d’écrans géants n’est toujours pas faite et cela risque de poser beaucoup de problèmes. Pis, à cela s’ajoute la « mauvaise architecture de la salle » qui n’aura sans doute pas assez de places », s’inquiète-t-on par ailleurs. En réponse à ses accusations, une partie du procès de tempérer : « Il ne faut pas chercher un problème là où il n’y en pas. On va procéder de façon intelligente et certainement il y aura une salle prévue pour les témoins ».
Ce qui demeure sûr, c’est que les parties sont convoquées pour le 31 juillet à 10 heures.
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