En mal partout, ici et ailleurs, Macky Sall, fait venir son "sorcier blanc" pour chanter ses louanges et dire en quoi nous, Sénégalais, sommes chanceux de l’avoir comme président. Son Monsieur Françafrique qui vient nous dire, nous Peuple souverain, quoi retenir de Macky Sall que nous pratiquons tous les jours, et comment choisir celui qui doit conduire notre destinée.
Voilà un des points de rupture avec le régime de Macky Sall dans notre manière de pratiquer la politique et l’Etat. Pour Macky Sall, tous les problèmes du Sénégal doivent trouver leur solution auprès d’un esprit « blanc ».
Je rappelle que quand nous, Pastef, demandons de réviser les relations bilatérales entre le Sénégal et la France, c’est parce qu’il y a des méthodes à abolir mais surtout, parce qu’il y a une vague de crasses, dont Bourgi, à ensevelir à la décharge. Notre continent a souffert du fait d’hommes et de femmes de la nature de Bourgi dont l’existence se résume à nuire et sucer les efforts de dignes hommes et femmes qui se sont battus pour éclairer leurs peuples et les mener au progrès.
Bourgi ! Voilà un homme dont l’unique carte de visite se valorise par « neveu de Foccart ». Certains pays africains auraient pu se sentir mieux de nos jours, si dans leur destin ils n’avaient pas croisé M. Jacques Foccart, père fondateur de la Françafrique. Foccart, le parrain de beaucoup de malheurs et misères que vivent des milliers d’Africains dont M. Bourgi, encore nostalgique de ces moments, se réclame l’héritier.
A lire Monsieur Bourgi dans les colonnes du journal L’Observateur ce 3 avril - fait curieux d’ailleurs, nos experts et analystes sénégalais n’ont jamais droit à deux pages quand ils se prononcent sur les sujets qui intéressent notre Nation - on se résout de comprendre qu’il nourrit un regret profond de ne pas compter le président Sonko sur sa « lugubre » liste d’amis avec lesquels il dîne le soir pour ensuite monnayer le contenu de leurs discussions le lendemain matin au plus offrant. Pourvu que cela lui permette de maintenir son niveau de vie et d’entretenir ses innommables désirs et petits plaisirs.
Même si vous refusez de le croire, M. Bourgi, les pages des viles relations entre le Sénégal et la France sont en train d’être tournées. En 2024, un nouveau chapitre, dans lequel aucune ligne ne vous sera consacrée, sera rédigé avec une nouvelle génération de politiques, armés de science, de bonne conscience et surtout patriotes dans l’âme pour sortir le Sénégal de l’ombre de l’impérialisme dans laquelle vous et vos semblables, condescendants, le maintenez depuis 1960.
L’autre pincement de cœur de M. Bourgi, on le sent, c’est de savoir que son champion, celui qu’il dit être taillé pour la fonction, ne prendra pas part à la compétition de février 2024 qui verra la participation glorieuse du président Ousmane Sonko et son accession à la magistrature suprême. En attendant, j’invite M. Bourgi à faire sien ce proverbe bien africain « avant de balayer chez l’autre, il faut d’abord balayer la devanture de sa maison ».
Par Ousseynou Ly (Membre du cabinet de Ousmane Sonko)
Voilà un des points de rupture avec le régime de Macky Sall dans notre manière de pratiquer la politique et l’Etat. Pour Macky Sall, tous les problèmes du Sénégal doivent trouver leur solution auprès d’un esprit « blanc ».
Je rappelle que quand nous, Pastef, demandons de réviser les relations bilatérales entre le Sénégal et la France, c’est parce qu’il y a des méthodes à abolir mais surtout, parce qu’il y a une vague de crasses, dont Bourgi, à ensevelir à la décharge. Notre continent a souffert du fait d’hommes et de femmes de la nature de Bourgi dont l’existence se résume à nuire et sucer les efforts de dignes hommes et femmes qui se sont battus pour éclairer leurs peuples et les mener au progrès.
Bourgi ! Voilà un homme dont l’unique carte de visite se valorise par « neveu de Foccart ». Certains pays africains auraient pu se sentir mieux de nos jours, si dans leur destin ils n’avaient pas croisé M. Jacques Foccart, père fondateur de la Françafrique. Foccart, le parrain de beaucoup de malheurs et misères que vivent des milliers d’Africains dont M. Bourgi, encore nostalgique de ces moments, se réclame l’héritier.
A lire Monsieur Bourgi dans les colonnes du journal L’Observateur ce 3 avril - fait curieux d’ailleurs, nos experts et analystes sénégalais n’ont jamais droit à deux pages quand ils se prononcent sur les sujets qui intéressent notre Nation - on se résout de comprendre qu’il nourrit un regret profond de ne pas compter le président Sonko sur sa « lugubre » liste d’amis avec lesquels il dîne le soir pour ensuite monnayer le contenu de leurs discussions le lendemain matin au plus offrant. Pourvu que cela lui permette de maintenir son niveau de vie et d’entretenir ses innommables désirs et petits plaisirs.
Même si vous refusez de le croire, M. Bourgi, les pages des viles relations entre le Sénégal et la France sont en train d’être tournées. En 2024, un nouveau chapitre, dans lequel aucune ligne ne vous sera consacrée, sera rédigé avec une nouvelle génération de politiques, armés de science, de bonne conscience et surtout patriotes dans l’âme pour sortir le Sénégal de l’ombre de l’impérialisme dans laquelle vous et vos semblables, condescendants, le maintenez depuis 1960.
L’autre pincement de cœur de M. Bourgi, on le sent, c’est de savoir que son champion, celui qu’il dit être taillé pour la fonction, ne prendra pas part à la compétition de février 2024 qui verra la participation glorieuse du président Ousmane Sonko et son accession à la magistrature suprême. En attendant, j’invite M. Bourgi à faire sien ce proverbe bien africain « avant de balayer chez l’autre, il faut d’abord balayer la devanture de sa maison ».
Par Ousseynou Ly (Membre du cabinet de Ousmane Sonko)
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