Mauvaise nouvelle pour les consommateurs d’alcool. En effet, les prix des «boissons alcoolisées, tabacs et stupéfiants » ont enregistré une hausse de 2,1%, imputable essentiellement à celle des prix des bières (+9,0%), de l’alcool de bouche (+2,5%) et des cigarettes (+2,0%), consécutive au relèvement de la taxe sur les tabacs et les alcools. Ce qui, selon l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), explique la hausse de l’Indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) du mois de janvier 2010 qui est de 0,1%. Les «produits alimentaires, les boissons non alcoolisées» (+0,5%), des «restaurants et hôtels» (+0,5%) et des «articles d’habillement et chaussures» (+0,3%) font parti de l’explication fournie pour justifier cette hausse.
Par ailleurs, les prix des «produits alimentaires, des boissons non alcoolisées» se sont accrus de 0,5%, en liaison avec la hausse des prix des «poissons et autres produits frais de la pêche (+12,2%)» et, dans une moindre mesure, des céréales non transformées (+0,4%).
Toutefois, cette évolution est atténuée par le repli des prix des «produits alimentaires non classés ailleurs» (-9,5%), des fruits (-6,6%) et de la viande de bœuf (-0,2%). Par rapport à la période correspondante de l’année précédente, les prix des produits alimentaires se sont repliés de 2,9%.
Les fonctions «santé», «loisirs et culture» et «logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles» ont enregistré chacune une contraction de 0,4% de leurs prix. La baisse des prix de la fonction «logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles» est liée essentiellement à celle des prix des «combustibles solides» (-8,6%) et des «loyers effectivement payés par les locataires (-0,4%)». Le repli de 9,9% des prix des produits de la pharmacopée traditionnelle explique le fléchissement de ceux de la fonction santé.
Par ailleurs, les prix des «produits alimentaires, des boissons non alcoolisées» se sont accrus de 0,5%, en liaison avec la hausse des prix des «poissons et autres produits frais de la pêche (+12,2%)» et, dans une moindre mesure, des céréales non transformées (+0,4%).
Toutefois, cette évolution est atténuée par le repli des prix des «produits alimentaires non classés ailleurs» (-9,5%), des fruits (-6,6%) et de la viande de bœuf (-0,2%). Par rapport à la période correspondante de l’année précédente, les prix des produits alimentaires se sont repliés de 2,9%.
Les fonctions «santé», «loisirs et culture» et «logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles» ont enregistré chacune une contraction de 0,4% de leurs prix. La baisse des prix de la fonction «logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles» est liée essentiellement à celle des prix des «combustibles solides» (-8,6%) et des «loyers effectivement payés par les locataires (-0,4%)». Le repli de 9,9% des prix des produits de la pharmacopée traditionnelle explique le fléchissement de ceux de la fonction santé.
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