Financé par le PNUD et le FEM, le Projet Ecovillages intervient dans 84 villages dont 10 villages centre pour une population de près de 30 000 habitants et 2 218 ménages. L’écovillages de Mackombel un exemple patent de réussite. Dans ce village, le Projet de Conservation participative de la biodiversité et développement faiblement émissif en carbone d’Ecovillages pilote à proximité des aires protégées du Sénégal à parmi à la population de se prendre en charge sur plusieurs domaines : à l’énergie solaire, à l’eau potable et d’adopter des pratiques durables de gestion des ressources.
Selon Cheikh Fall, l’agent technique des Eaux et Forets : « les écovillages visent l’autosuffisance alimentaire. C’est pour cela on se basse sur les écosystèmes familiaux. C’est pour cela on se basse sur les écosystèmes familiaux. Il y a un rôle alimentaire d’abord, le rôle économique, l’excédant est vendu pour remplir les poches. Pour le rôle écologique, il y a certains arbres comme les arbres forestiers et ça permet même une bonne infiltration de l’eau de pluie, d’où l’augmentation de la production. Ici, nous visons la sécurité, mais aussi la régularité alimentaire.
Les populations pratiquent l’agriculture bio et ont des revenus plus importants. Désormais, à Mackombel, l’installation d’une boutique « énergie » permet de limiter l’usage des prises électriques dans les maisons. Une mini-centrale électrique alimente les maisons en électricité, et permet d’éclairer l’église et les rues par des lampadaires. Des biodigesteurs produisent du gaz et de l’électricité à partir des fertilisants organiques comme les bouses des vaches. Une petite boulangerie fonctionnant avec soit le biogaz ou butane produit environ 40 pains par jour, ainsi que des goûters pour la cantine scolaire et les enfants.
L’énergie solaire a permis d’améliorer le niveau de scolarisation des élèves (avec un taux de réussite de 100 % au CEFE) et de faciliter à l’Internet aux enseignants et élèves. Le taux de réussite scolaire s’est nettement amélioré, au point que les parents des villages environnants envoient leurs enfants à Mbackombel.
Autre fait notable, les jeunes qui avaient déserté le village pour la ville ou l’étranger commencent à revenir pour travailler sur place, du fait de revenus meilleurs. Le projet a également révolutionné les techniques de cuisson par l’introduction de cuiseurs solaires, des foyers améliorés en banco, reconnus plus avantageux sur le plan de la santé publique, car ils permettent aux ménagères d’éviter certaines maladies des yeux et les infections respiratoires.
De plus, la fabrication des foyers en banco représente une importante source de création d’emplois verts pour les femmes, les jeunes. L’ensemble des ménages dispose de foyers en banco, plus économes en bois de chauffe par rapport aux fourneaux traditionnels. Les populations ont accès à l'eau de qualité et à moindre coût grâce à l'installation d'un forage muni d'une pompe solaire et d'un château d'eau de 50 m3.
Selon Cheikh Fall, l’agent technique des Eaux et Forets : « les écovillages visent l’autosuffisance alimentaire. C’est pour cela on se basse sur les écosystèmes familiaux. C’est pour cela on se basse sur les écosystèmes familiaux. Il y a un rôle alimentaire d’abord, le rôle économique, l’excédant est vendu pour remplir les poches. Pour le rôle écologique, il y a certains arbres comme les arbres forestiers et ça permet même une bonne infiltration de l’eau de pluie, d’où l’augmentation de la production. Ici, nous visons la sécurité, mais aussi la régularité alimentaire.
Les populations pratiquent l’agriculture bio et ont des revenus plus importants. Désormais, à Mackombel, l’installation d’une boutique « énergie » permet de limiter l’usage des prises électriques dans les maisons. Une mini-centrale électrique alimente les maisons en électricité, et permet d’éclairer l’église et les rues par des lampadaires. Des biodigesteurs produisent du gaz et de l’électricité à partir des fertilisants organiques comme les bouses des vaches. Une petite boulangerie fonctionnant avec soit le biogaz ou butane produit environ 40 pains par jour, ainsi que des goûters pour la cantine scolaire et les enfants.
L’énergie solaire a permis d’améliorer le niveau de scolarisation des élèves (avec un taux de réussite de 100 % au CEFE) et de faciliter à l’Internet aux enseignants et élèves. Le taux de réussite scolaire s’est nettement amélioré, au point que les parents des villages environnants envoient leurs enfants à Mbackombel.
Autre fait notable, les jeunes qui avaient déserté le village pour la ville ou l’étranger commencent à revenir pour travailler sur place, du fait de revenus meilleurs. Le projet a également révolutionné les techniques de cuisson par l’introduction de cuiseurs solaires, des foyers améliorés en banco, reconnus plus avantageux sur le plan de la santé publique, car ils permettent aux ménagères d’éviter certaines maladies des yeux et les infections respiratoires.
De plus, la fabrication des foyers en banco représente une importante source de création d’emplois verts pour les femmes, les jeunes. L’ensemble des ménages dispose de foyers en banco, plus économes en bois de chauffe par rapport aux fourneaux traditionnels. Les populations ont accès à l'eau de qualité et à moindre coût grâce à l'installation d'un forage muni d'une pompe solaire et d'un château d'eau de 50 m3.
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