Le G7, constitué des sept syndicats les plus représentatifs dans le secteur de l’enseignement, réclame le respect du protocole d’accord signé avec le gouvernement le 30 avril 2018. Ce protocole porte sur le régime indemnitaire, le paiement de rappels, les prêts Dmc, la création d’un corps des administrateurs scolaires, entre autres points de revendication. Avec la grande marche nationale des syndicats d’enseignants du G7, la capitale du rail renoue avec la mobilisation des grands jours. Les marcheurs, qui viendront de tous les coins et recoins du pays, partiront du lycée d’enseignement général, en passant par le CEM de Grand-Diourbel, pour terminer leur mouvement devant la gouvernance. une occasion de remettre sous les projecteurs les points de leur plateforme revendicative.
Ils se disent en tout cas convaincus que « la solution est bien à portée de main du gouvernement, qui refuse de matérialiser ces accords signés depuis 2018 ». disant leur détermination à continuer le combat coûte que coûte, ils martèlent que « ce ne sont pas des menaces qui nous feront reculer ». l’occasion sera mise à profit par les secrétaires généraux de syndicats qui prendront part à la marche, pour saluer « la détermination des enseignants » et appeler le gouvernement à « plus de responsabilité ».
Selon eux, en effet, « c’est dans le respect strict des accords signés, qui ont été jugés réalistes et réalisables par le gouvernement, que le secteur de l’éducation retrouvera sa stabilité et sa sérénité ». Hélas, se désolent- ils, « le gouvernement est en train de faire du dilatoire par rapport à ces revendications, mais nous lui disons que nous sommes déterminés à poursuivre la lutte jusqu’à obtenir satisfaction totale ». Et de souligner : « on (Ndlr, l’Etat) ne peut pas continuer à dire des contrevérités au peuple sénégalais qui, tous les matins, voit de l’argent dépensé dans des futilités alors que les priorités sont ailleurs ».
Au cours de cette marche pour laquelle ils an- noncent un record de participation, les membres du G7, tout en disant comme nos militaires qu’« on nous tue mais on ne nous déshonore pas », vont arborer des brassards rouges, porter des tee-shirts de la même couleur, brandir des pancartes avec un chapelet de slogans. Une marche autorisée, qui va se dérouler sans débordement encore moins violence, assurent-ils. Au terme de leur procession, les enseignants vont remettre un référendum au gouverneur ou à son représentant.
Le Témoin
Ils se disent en tout cas convaincus que « la solution est bien à portée de main du gouvernement, qui refuse de matérialiser ces accords signés depuis 2018 ». disant leur détermination à continuer le combat coûte que coûte, ils martèlent que « ce ne sont pas des menaces qui nous feront reculer ». l’occasion sera mise à profit par les secrétaires généraux de syndicats qui prendront part à la marche, pour saluer « la détermination des enseignants » et appeler le gouvernement à « plus de responsabilité ».
Selon eux, en effet, « c’est dans le respect strict des accords signés, qui ont été jugés réalistes et réalisables par le gouvernement, que le secteur de l’éducation retrouvera sa stabilité et sa sérénité ». Hélas, se désolent- ils, « le gouvernement est en train de faire du dilatoire par rapport à ces revendications, mais nous lui disons que nous sommes déterminés à poursuivre la lutte jusqu’à obtenir satisfaction totale ». Et de souligner : « on (Ndlr, l’Etat) ne peut pas continuer à dire des contrevérités au peuple sénégalais qui, tous les matins, voit de l’argent dépensé dans des futilités alors que les priorités sont ailleurs ».
Au cours de cette marche pour laquelle ils an- noncent un record de participation, les membres du G7, tout en disant comme nos militaires qu’« on nous tue mais on ne nous déshonore pas », vont arborer des brassards rouges, porter des tee-shirts de la même couleur, brandir des pancartes avec un chapelet de slogans. Une marche autorisée, qui va se dérouler sans débordement encore moins violence, assurent-ils. Au terme de leur procession, les enseignants vont remettre un référendum au gouverneur ou à son représentant.
Le Témoin
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