Pour le Front du salut, participer aux élections c’est donner de la légitimité « à un simulacre de démocratie ». Le Front avait demandé des garanties. La première était la constitution d’un gouvernement neutre, chargé de la conduite des élections au lieu de l’actuel cabinet où les Frères musulmans, occupent tous les postes susceptibles d’influencer l’opinion publique : les ministères de l’Information, de la Jeunesse, de l’Enseignement et des Affaires religieuses.
Le Front du salut a aussi rejeté la nouvelle loi électorale taillée sur mesure, surtout au niveau du découpage des circonscriptions, pour avantager les Frères musulmans. Des demandes rejetées par le président Morsi et sa Confrérie même si le chef de l’Etat a tenu mardi une énième conférence de « dialogue national ». Une conférence où les islamistes dialoguaient avec les islamistes.
Mais même là, on a noté la contestation des salafistes du parti Al-Nour, qui était arrivé deuxième aux dernières législatives. Al-Nour dont les revendications étaient similaires à celles du Front du salut.
Source : Rfi.fr
Le Front du salut a aussi rejeté la nouvelle loi électorale taillée sur mesure, surtout au niveau du découpage des circonscriptions, pour avantager les Frères musulmans. Des demandes rejetées par le président Morsi et sa Confrérie même si le chef de l’Etat a tenu mardi une énième conférence de « dialogue national ». Une conférence où les islamistes dialoguaient avec les islamistes.
Mais même là, on a noté la contestation des salafistes du parti Al-Nour, qui était arrivé deuxième aux dernières législatives. Al-Nour dont les revendications étaient similaires à celles du Front du salut.
Source : Rfi.fr
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