Ainsi les passants qui ont assisté à cette scène de se lancer à la poursuite d’El Hadji Diaw. Le corps du défunt fut acheminé à la morgue de l’hôpital de Pikine où son neveu Louis est admis aux Urgences. Les policiers, sur les lieux ont traqué et retrouvé, le meurtrier chez lui à Pikine Rue 10. Cependant l’arme du crime qui reste introuvable, lui est demandé par les policiers à qui, il répond « c’est pendant ma fuite que le couteau est tombé ».
Ce dernier argue la thèse d’être « sous l’emprise d’un esprit maléfique » une attitude loin de décourager les enquêteurs qui l’ont fait craquer, sous le poids d’une série de questions, informe le journal "l'observateur". « Il n’y a jamais eu de différend entre les deux individus que j’ai poignardé et moi. La vérité, c’est que mon acte m’a été dicté par un être surnaturel. Ainsi, au vu de ces deux individus, j’étais hystérique. J’ai foncé sur eux. Ils n’ont pas eu le temps de réagir. Sous le coup de la surprise, je leur ai planté plusieurs coups de couteau, en flanc, sur le dos et même à la tête» a-t-il expliqué.
El Hadji Diaw de poursuivre : « En réalité, je suis persécuté par l’image d’un proche ami : Edouard. Il était mon seul véritable ami. Il est décédé de façon mystérieuse à Hann Maristes. Lorsque je prie, son image et son esprit me reviennent sans cesse. Cet après midi, après la prière de « Tisbar », l’esprit de mon défunt ami Edouard m’est encore réapparu. Je suis sorti dans la rue et j’étais comme une bête assoiffée de vengeance et de sang.
J’ai bien réussi à tuer l’un des deux individus, c’était mon objectif. Ainsi j’ai vengé mon défunt ami comme me l’a indiqué l’esprit maléfique qui me hante ». Toutefois El Hadji Diaw, un repris de justice récemment condamné a une peine ferme pour « violences à ascendant, dont des témoignages recueillis sous le couvert de l’anonymat, il s’avère que les distorsions notées dans le comportement du mis en cause sont le seul fait « d’un usage abusif de chanvre indien ».
Ce dernier argue la thèse d’être « sous l’emprise d’un esprit maléfique » une attitude loin de décourager les enquêteurs qui l’ont fait craquer, sous le poids d’une série de questions, informe le journal "l'observateur". « Il n’y a jamais eu de différend entre les deux individus que j’ai poignardé et moi. La vérité, c’est que mon acte m’a été dicté par un être surnaturel. Ainsi, au vu de ces deux individus, j’étais hystérique. J’ai foncé sur eux. Ils n’ont pas eu le temps de réagir. Sous le coup de la surprise, je leur ai planté plusieurs coups de couteau, en flanc, sur le dos et même à la tête» a-t-il expliqué.
El Hadji Diaw de poursuivre : « En réalité, je suis persécuté par l’image d’un proche ami : Edouard. Il était mon seul véritable ami. Il est décédé de façon mystérieuse à Hann Maristes. Lorsque je prie, son image et son esprit me reviennent sans cesse. Cet après midi, après la prière de « Tisbar », l’esprit de mon défunt ami Edouard m’est encore réapparu. Je suis sorti dans la rue et j’étais comme une bête assoiffée de vengeance et de sang.
J’ai bien réussi à tuer l’un des deux individus, c’était mon objectif. Ainsi j’ai vengé mon défunt ami comme me l’a indiqué l’esprit maléfique qui me hante ». Toutefois El Hadji Diaw, un repris de justice récemment condamné a une peine ferme pour « violences à ascendant, dont des témoignages recueillis sous le couvert de l’anonymat, il s’avère que les distorsions notées dans le comportement du mis en cause sont le seul fait « d’un usage abusif de chanvre indien ».
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