L’apparition de Beyoncé sur la scène d’un stade de son Houston natal a électrisé les 22 000 personnes présentes. Mais Beyoncé n’est pas venue chanter. La diva de la pop et du 'n'b a appelé l’Amérique à chanter une nouvelle chanson, celle de Kamala Harris qu’elle soutient officiellement pour devenir la première femme présidente des États-Unis : « Je ne suis pas ici en tant que célébrité. Je ne suis pas ici en tant que politicienne. Je suis ici en tant que mère. Une mère qui se soucie profondément du sort du monde dans lequel mes enfants et tous nos enfants vivent. Un monde dans lequel nous avons la liberté de contrôler nos corps. »
La star planétaire de la pop, qui a donné à la campagne son hymne officiel avec sa chanson Freedom [« Liberté », en français NDLR], a prononcé un court discours pour dénoncer les atteintes aux droits des femmes et notamment à leur droit d'avorter dans une vingtaine d'États américains, dont son Texas natal. « Imaginez nos filles grandir, voir ce qui est possible, sans plafonds, sans limites. Imaginez nos grands-mères. Imaginez ce qu'elles ressentent en ce moment, celles qui ont vécu pour voir ce jour historique », a-t-elle déclaré.
Queen B s'est adressée à « tous les hommes et les femmes qui sont dans cette salle et qui nous regardent dans tout le pays. [...] Nous avons besoin de vous ».
Beyoncé était donc sur scène aux côtés de Kamala Harris pour un meeting paillettes dédié à la restauration du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Un thème pivot de sa campagne au Texas, État symbole de la répression contre l’avortement : « Plus de 20 États ont une interdiction de Trump contre l’avortement. Une femme américaine sur trois vit dans un État avec une interdiction de Trump contre l’avortement, comme c'est le cas le Texas. »
Un peu plus tôt, Donald Trump était, lui aussi, au Texas pour marteler son thème de campagne favori, l’immigration et moquer sa rivale : « Kamala est au Texas pour se montrer avec des célébrités woke. Mais elle ne rencontrera aucune des victimes des crimes commis par les migrants. »
En 2022, la Cour suprême américaine avait mis fin à la protection fédérale du droit à l'interruption volontaire de grossesse et Donald Trump se félicite régulièrement d'être à l'origine de cette décision au travers de ses nominations de juges conservateurs quand il était président.
La star planétaire de la pop, qui a donné à la campagne son hymne officiel avec sa chanson Freedom [« Liberté », en français NDLR], a prononcé un court discours pour dénoncer les atteintes aux droits des femmes et notamment à leur droit d'avorter dans une vingtaine d'États américains, dont son Texas natal. « Imaginez nos filles grandir, voir ce qui est possible, sans plafonds, sans limites. Imaginez nos grands-mères. Imaginez ce qu'elles ressentent en ce moment, celles qui ont vécu pour voir ce jour historique », a-t-elle déclaré.
Queen B s'est adressée à « tous les hommes et les femmes qui sont dans cette salle et qui nous regardent dans tout le pays. [...] Nous avons besoin de vous ».
Beyoncé était donc sur scène aux côtés de Kamala Harris pour un meeting paillettes dédié à la restauration du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Un thème pivot de sa campagne au Texas, État symbole de la répression contre l’avortement : « Plus de 20 États ont une interdiction de Trump contre l’avortement. Une femme américaine sur trois vit dans un État avec une interdiction de Trump contre l’avortement, comme c'est le cas le Texas. »
Un peu plus tôt, Donald Trump était, lui aussi, au Texas pour marteler son thème de campagne favori, l’immigration et moquer sa rivale : « Kamala est au Texas pour se montrer avec des célébrités woke. Mais elle ne rencontrera aucune des victimes des crimes commis par les migrants. »
En 2022, la Cour suprême américaine avait mis fin à la protection fédérale du droit à l'interruption volontaire de grossesse et Donald Trump se félicite régulièrement d'être à l'origine de cette décision au travers de ses nominations de juges conservateurs quand il était président.
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