Selon l’ex capitaine, la première incohérence, provient du problème de la quittance. « Le dossier de Sonko avait été jugé incomplet parce qu’il manquait la quittance qui lui a été refusé par la caisse des dépôts et consignation. Après recours de ses avocats poursuit –il, « les mêmes juges, ont estimé que le manque de la quittance dans le dossier présenté par le mandataire de Sonko n’était pas de la faute de ce dernier donc le dossier est complet. Ils reviennent encore une fois pour dire, bien que le dossier soit complet, Ousmane Sonko ne peut pas être candidat parce qu’il a été condamné. Informant que c’est la cour suprême qui leur a transmis le dossier », explique Seydina Touré.
« Une attitude qui confirme les soupçons », de l’avis du membre de Lacos qui estime que « C’est une faute extrêmement grave, car on ne peut pas traiter à la légère un dossier de candidature à la présidentielle ».
Il y’a aussi le procès en diffamation qui l’opposait à Mame Mbaye Niang « accélérer » en une année. Prenant exemple sur lui, « moi-même qui vous parle, j’ai un procès en diffamation depuis mars 2023 et je peine même à avoir une décision en première instance ». Et comme par hasard dit-il, « le même Conseil constitutionnel valide le dossier de Sonko et pourtant, il avait soutenu que c’est la cour suprême qui leur avait transmis le dossier portant le verdict de sa condamnation. Une décision basé sur l’article L30, selon lui, ne dit pas qu’il ne doit pas être éligible. Il dit qu’il ne doit pas figurer sur les listes électorales et cela demande une procédure administrative à suivre pour être rétabli sur les listes mais, ils ne lui ont pas donné le temps. Le Conseil constitutionnel s’est autosaisie et il n’avait pas à s’autosaisir comme il l’a fait », a indiqué l’ex capitaine Seydina Oumar Touré.
Il a invité par ailleurs les Sénégalais à être sur leurs gardes pour finir avec cette injustice. « Il faut que les Sénégalais se préparent cette injustice est un problème de génération, un problème d’avenir. Pour y mettre un terme, il faut que l’on soit prêt. Il faut que les Sénégalais se préparent à sécuriser le scrutin quitte à y laisser leur vie. Ce pays nous appartient tous », a-t-il lancé.
« Une attitude qui confirme les soupçons », de l’avis du membre de Lacos qui estime que « C’est une faute extrêmement grave, car on ne peut pas traiter à la légère un dossier de candidature à la présidentielle ».
Il y’a aussi le procès en diffamation qui l’opposait à Mame Mbaye Niang « accélérer » en une année. Prenant exemple sur lui, « moi-même qui vous parle, j’ai un procès en diffamation depuis mars 2023 et je peine même à avoir une décision en première instance ». Et comme par hasard dit-il, « le même Conseil constitutionnel valide le dossier de Sonko et pourtant, il avait soutenu que c’est la cour suprême qui leur avait transmis le dossier portant le verdict de sa condamnation. Une décision basé sur l’article L30, selon lui, ne dit pas qu’il ne doit pas être éligible. Il dit qu’il ne doit pas figurer sur les listes électorales et cela demande une procédure administrative à suivre pour être rétabli sur les listes mais, ils ne lui ont pas donné le temps. Le Conseil constitutionnel s’est autosaisie et il n’avait pas à s’autosaisir comme il l’a fait », a indiqué l’ex capitaine Seydina Oumar Touré.
Il a invité par ailleurs les Sénégalais à être sur leurs gardes pour finir avec cette injustice. « Il faut que les Sénégalais se préparent cette injustice est un problème de génération, un problème d’avenir. Pour y mettre un terme, il faut que l’on soit prêt. Il faut que les Sénégalais se préparent à sécuriser le scrutin quitte à y laisser leur vie. Ce pays nous appartient tous », a-t-il lancé.
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