Dans la commune d’Adjamé, les enquêteurs ont commencé à recevoir le public. Carte : RFI
Il s’agit des enquêtes non judiciaires qui viennent de démarrer. Créée en juillet dernier, la Commission nationale d’enquête est chargée de recueillir les témoignages. Informations, documents et renseignements divers pouvant établir la réalité des violations des droits de l’homme et identifier leurs auteurs. Chaque victime se présentera elle-même devant les enquêteurs pour se faire entendre.
Cette Commission couvre la période allant du 31 octobre 2010, date du 1er tour de la présidentielle, au 15 mai 2011, date marquant la maîtrise totale du pays par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire, avec la chute des dernières poches de résistance des milices pro-Gbagbo à Yopougon.
Les enquêteurs sont donc déployés dans les différentes communes du district d’Abidjan jusqu’au 28 janvier. Une dizaine de jours seulement. Mais après le 28 janvier, un autre lieu reste accessible à ceux qui ont des témoignages précis à délivrer.
« Au siège de la Commission nationale d’enquête, il y a deux équipes permanentes. Si les témoins estiment qu’ils n’ont pas été entendus, ils peuvent se rendre au siège de la Commission nationale d’enquête où deux équipes permanentes les recevront.», assure le commissaire chargé de la commune d’Adjamé, Fakky Konaté.
Après la capitale économique ivoirienne, les enquêteurs se rendront dans le reste du pays dès le mois de février, afin de recueillir la parole des victimes et des témoins.
Source: RFI
Cette Commission couvre la période allant du 31 octobre 2010, date du 1er tour de la présidentielle, au 15 mai 2011, date marquant la maîtrise totale du pays par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire, avec la chute des dernières poches de résistance des milices pro-Gbagbo à Yopougon.
Les enquêteurs sont donc déployés dans les différentes communes du district d’Abidjan jusqu’au 28 janvier. Une dizaine de jours seulement. Mais après le 28 janvier, un autre lieu reste accessible à ceux qui ont des témoignages précis à délivrer.
« Au siège de la Commission nationale d’enquête, il y a deux équipes permanentes. Si les témoins estiment qu’ils n’ont pas été entendus, ils peuvent se rendre au siège de la Commission nationale d’enquête où deux équipes permanentes les recevront.», assure le commissaire chargé de la commune d’Adjamé, Fakky Konaté.
Après la capitale économique ivoirienne, les enquêteurs se rendront dans le reste du pays dès le mois de février, afin de recueillir la parole des victimes et des témoins.
Source: RFI
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