Une unité de l'armée régulière libyenne en route pour désarmer une milice illégale, le 23 septembre 2012 à Tripoli.
A Tripoli, un membre du mouvement national mobile expliquait cet après-midi que les opérations s’étaient jusqu’à présent déroulées sans heurt.
Dans la capitale, les autorités libyennes s’appuient sur ce groupe formé de combattants de plusieurs brigades, essentiellement de l’Ouest libyen, pour les aider à chasser les milices illégales. Cette force, qui dépend de l’armée, a délogé plusieurs brigades, notamment celle qui occupait un site militaire, sur la route de l’aéroport, ou encore celle qui s’était installée à Regatta, dans les villas de luxe des membres de l’ancien régime.
A Benghazi, l’armée a également pris le relais des habitants. Des officiers ont désormais été placés à la tête des deux brigades les plus puissantes de la ville.
Les opérations de désarmement des milices se déroulent pour l’instant dans un calme relatif, dans les deux plus grandes villes du pays. Certaines milices ont quitté d’elles-mêmes leurs quartiers généraux, comme à Derna, une ville fondamentaliste au nord-est de Benghazi.
Mais dans le reste du pays, la situation s’annonce plus difficile, notamment à Beni Walid, pendant longtemps un bastion kadhafiste, ou encore à Sebha, au sud, région sur laquelle les autorités ont peu de contrôle.
Source: RFI
Dans la capitale, les autorités libyennes s’appuient sur ce groupe formé de combattants de plusieurs brigades, essentiellement de l’Ouest libyen, pour les aider à chasser les milices illégales. Cette force, qui dépend de l’armée, a délogé plusieurs brigades, notamment celle qui occupait un site militaire, sur la route de l’aéroport, ou encore celle qui s’était installée à Regatta, dans les villas de luxe des membres de l’ancien régime.
A Benghazi, l’armée a également pris le relais des habitants. Des officiers ont désormais été placés à la tête des deux brigades les plus puissantes de la ville.
Les opérations de désarmement des milices se déroulent pour l’instant dans un calme relatif, dans les deux plus grandes villes du pays. Certaines milices ont quitté d’elles-mêmes leurs quartiers généraux, comme à Derna, une ville fondamentaliste au nord-est de Benghazi.
Mais dans le reste du pays, la situation s’annonce plus difficile, notamment à Beni Walid, pendant longtemps un bastion kadhafiste, ou encore à Sebha, au sud, région sur laquelle les autorités ont peu de contrôle.
Source: RFI
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