''Il est très urgent que le bureau de la procureure de la CPI agisse pour identifier les auteurs des massacres à Beni et qu'ils soient immédiatement poursuivis'', a plaidé la société civile internationale à l'ouverture de la 18ème session de l'Assemblée des Etats Partis de la Cour pénale internationale (CPI), à la Haye au Pays-Bas.
Au moins 150 membres de la société civile internationale venus des quatre coins de la planète y participent.
La situation sécuritaire et celle liée aux crimes graves à Beni ont été présentées à la session de l'Assemblée des Etats Partis de la CPI.
Me Joseph Dunia Ruyenzi, accrédité à cette session pour le compte de la RDC, demande à la Procureure de la CPI des actions urgentes pour Beni.
Pour lui, il est urgent ''d'interpeller les autorités congolaises et tous les acteurs de sorte que tout soit fait pour que les crimes cessent''.
Lire aussi : Les États-Unis révoquent le visa du procureur de la CPI
Au total, plus de 100 civils ont été tués depuis le 5 novembre dans des attaques attribuées aux Forces démocratiques alliées (ADF).
Originaire d'Ouganda, ce groupe armé est présent au Congo depuis 25 ans.
Selon les experts, ces massacres visent les civils en représailles aux opérations militaires annoncées fin octobre par l'armée congolaise contre les bases ADF.
Au moins 150 membres de la société civile internationale venus des quatre coins de la planète y participent.
La situation sécuritaire et celle liée aux crimes graves à Beni ont été présentées à la session de l'Assemblée des Etats Partis de la CPI.
Me Joseph Dunia Ruyenzi, accrédité à cette session pour le compte de la RDC, demande à la Procureure de la CPI des actions urgentes pour Beni.
Pour lui, il est urgent ''d'interpeller les autorités congolaises et tous les acteurs de sorte que tout soit fait pour que les crimes cessent''.
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Au total, plus de 100 civils ont été tués depuis le 5 novembre dans des attaques attribuées aux Forces démocratiques alliées (ADF).
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