Le Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) par la voix de son Secrétaire général, ne rate pas l’actionnaire majoritaire du Groupe Com 7 éditeur du journal Le Populaire et propriétaire de la Radio 7 Fm et d’une imprimerie.
Sur la situation dudit groupe, le SYNPICS dénonce une «mascarade qui se joue aujourd’hui dans ce Groupe déclaré en liquidation sans aucune décision de justice, donc sans liquidateur».
«Le Groupe dont Bara Tall, qui se rappelle malheureusement par ces faits de haute trahison au bon souvenir des Sénégalais, est l’actionnaire majoritaire a voulu, par cette parodie de liquidation échapper au paiement de salaires à l’endroit de travailleurs à qui il avait promis de payer «jusqu’au dernier centime», déplore Ibrahima Khaliloulah Ndiaye.
Pis, selon le journaliste, «les faits de haute trahison se résument en cette décision de vouloir mettre la clé sous paillasson et de vouloir toujours disposer par un journal, Vox Populi, aux allures d’une imposture d’un moyen de pression pour protéger ses intérêts».
Ce, après que «Bara Tall a reçu tout le soutien et la compassion des Sénégalais, ses employés en premier et n’a pas hésité à utiliser ses supports médiatiques pour se tirer d’affaire, mais aussi pour mener la guerre des actionnaires dans sa lutte pour recouvrir sa dignité et ses sous dans l’affaire des «Chantiers de Thiès»», s’indigne-t-il.
«En procédant à une parodie de liquidation, M. Tall viole les lois de ce pays», précise le SYNPICS qui interpelle «les autorités, le monde judiciaire notamment, sur cette forfaiture posée par un homme qui avait fini de prendre l’Etat en otage dans la dite affaire des «Chantiers de Thiès»».
«Le Collectif des employés du Groupe Com 7, encadré et soutenu par le SYNPICS, va porter plainte pour manquements et violations de la loi», soutient le syndicaliste qui demande «aussi à l’Etat du Sénégal d’aller plus loin que la simple nomination de quelqu’un qui fera le point sur la liquidation des entreprises en difficulté».
Selon le SYNPICS, «pour le cas du Groupe Com 7, il n’y a pas encore de liquidation, mais plutôt d’une volonté d’échapper au paiement de créances, de salaires» de «Bara Tall qui devrait être la dernière personne à ne pas honorer ses engagements et la première à exiger le respect de la loi, à combattre l’injustice et l’iniquité».
«Déterminés à le poursuivre en justice pour qu’il réponde de ses actes», Ibrahima Khaliloulah Ndiaye et Cie lancent «un appel à toutes les forces vives pour la préservation de l’outil de travail».
Sur la situation dudit groupe, le SYNPICS dénonce une «mascarade qui se joue aujourd’hui dans ce Groupe déclaré en liquidation sans aucune décision de justice, donc sans liquidateur».
«Le Groupe dont Bara Tall, qui se rappelle malheureusement par ces faits de haute trahison au bon souvenir des Sénégalais, est l’actionnaire majoritaire a voulu, par cette parodie de liquidation échapper au paiement de salaires à l’endroit de travailleurs à qui il avait promis de payer «jusqu’au dernier centime», déplore Ibrahima Khaliloulah Ndiaye.
Pis, selon le journaliste, «les faits de haute trahison se résument en cette décision de vouloir mettre la clé sous paillasson et de vouloir toujours disposer par un journal, Vox Populi, aux allures d’une imposture d’un moyen de pression pour protéger ses intérêts».
Ce, après que «Bara Tall a reçu tout le soutien et la compassion des Sénégalais, ses employés en premier et n’a pas hésité à utiliser ses supports médiatiques pour se tirer d’affaire, mais aussi pour mener la guerre des actionnaires dans sa lutte pour recouvrir sa dignité et ses sous dans l’affaire des «Chantiers de Thiès»», s’indigne-t-il.
«En procédant à une parodie de liquidation, M. Tall viole les lois de ce pays», précise le SYNPICS qui interpelle «les autorités, le monde judiciaire notamment, sur cette forfaiture posée par un homme qui avait fini de prendre l’Etat en otage dans la dite affaire des «Chantiers de Thiès»».
«Le Collectif des employés du Groupe Com 7, encadré et soutenu par le SYNPICS, va porter plainte pour manquements et violations de la loi», soutient le syndicaliste qui demande «aussi à l’Etat du Sénégal d’aller plus loin que la simple nomination de quelqu’un qui fera le point sur la liquidation des entreprises en difficulté».
Selon le SYNPICS, «pour le cas du Groupe Com 7, il n’y a pas encore de liquidation, mais plutôt d’une volonté d’échapper au paiement de créances, de salaires» de «Bara Tall qui devrait être la dernière personne à ne pas honorer ses engagements et la première à exiger le respect de la loi, à combattre l’injustice et l’iniquité».
«Déterminés à le poursuivre en justice pour qu’il réponde de ses actes», Ibrahima Khaliloulah Ndiaye et Cie lancent «un appel à toutes les forces vives pour la préservation de l’outil de travail».
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