Le Syndicat Unique des Travailleurs du Trésor) (SUTT) est décidé à agir contre "la léthargie ambiante à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT), l’insécurité qui sévi au niveau des postes comptables, l’affectation intempestive d’agents à la Direction générale de la comptabilité publique et du Trésor et de la mise en œuvre du contrat de performance signé avec le ministère de l’Economie des Finance et du plan".
Madiahaté Niang et Cie menacent "d’user de toutes les formes de lutte autorisées par la loi pour obtenir gain de cause, si l’Etat ne réagi pas". Ces syndicalistes oeuvrent pour "l’allègement des procédures, l’inscription des services dans un processus de certification, l’adoption des pratiques les plus modernes en matière de gestion de la trésorerie, la modernisation de la gestion du secteur parapublic".
Ainsi, "dans une perspective de modernisation, de son administration", le SUTT entend révéler "les différents points symptomatiques du mal être autant des agents du Trésor que de la structure même".
«De plus en plus, le Trésor reçoit des agents suivant un nombre et des qualificatives de compétences qui ne répondent pas souvent aux besoins du Trésor», fulmine le Directeur général du SUTT.
Madiahaté Niang qui rappelle aux autorités "l’urgence qu’il y a, à revoir, ces affectations-la", invite "à classer (ces urgences) sur les besoins réels du Trésor, non seulement en termes de nombre mais aussi en termes de compétences".
Insistant sur "l’impact négatif d’une telle situation synonyme de retard dans l’atteinte des engagements souscrits et d’une qualité de service public qui sera de ce fait fort peu appréciable", l'inspecteur du Trésor demande la réception des ouvrages devant abriter certains services du Trésor en chantier depuis plusieurs années.
«Nous invitons les autorités à pourvoir à ces postes de responsabilités. On a eu à échanger plusieurs fois avec les autorités, pour un climat apaisé. Le besoin se fait sentir dans presque toutes les localités qui abritent un poste du Trésor, notamment dans l’intérieur du pays. Certains bâtiments sont en état de délabrement très avancé. Je peux vous donner l’exemple du poste comptable de Saint-Louis. Il y a d’autres postes comptables qui sont en chantier depuis plusieurs années, (Mbour, Podor, Matam)...", se plaint-il.
Selon le Dg du SUTT, ce service banquier de l’Etat "est aussi exposé à de l’insécurité au niveau de certains postes de comptables". "Ces derniers années, beaucoup de postes comptables du Trésor ont été attaqués. On a donné l’exemple de Linguére où il y a eu mort d’homme. Il y a aussi l’exemple où le percepteur a été trouvé chez lui, ligoté et un coffre-fort emporté. Depuis, aucun acte n’a été posé par les autorités allant dans le sens de renforcer la sécurité au niveau des postes comptable mais aussi au niveau du Trésor ici à Dakar", clame Madiahaté Niang.
"Déterminé à user de tous les moyens autorisés par la loi pour avoir gain de cause", le SUTT menace d’aller en grève, si rien n’est fait par les autorités.
Madiahaté Niang et Cie menacent "d’user de toutes les formes de lutte autorisées par la loi pour obtenir gain de cause, si l’Etat ne réagi pas". Ces syndicalistes oeuvrent pour "l’allègement des procédures, l’inscription des services dans un processus de certification, l’adoption des pratiques les plus modernes en matière de gestion de la trésorerie, la modernisation de la gestion du secteur parapublic".
Ainsi, "dans une perspective de modernisation, de son administration", le SUTT entend révéler "les différents points symptomatiques du mal être autant des agents du Trésor que de la structure même".
«De plus en plus, le Trésor reçoit des agents suivant un nombre et des qualificatives de compétences qui ne répondent pas souvent aux besoins du Trésor», fulmine le Directeur général du SUTT.
Madiahaté Niang qui rappelle aux autorités "l’urgence qu’il y a, à revoir, ces affectations-la", invite "à classer (ces urgences) sur les besoins réels du Trésor, non seulement en termes de nombre mais aussi en termes de compétences".
Insistant sur "l’impact négatif d’une telle situation synonyme de retard dans l’atteinte des engagements souscrits et d’une qualité de service public qui sera de ce fait fort peu appréciable", l'inspecteur du Trésor demande la réception des ouvrages devant abriter certains services du Trésor en chantier depuis plusieurs années.
«Nous invitons les autorités à pourvoir à ces postes de responsabilités. On a eu à échanger plusieurs fois avec les autorités, pour un climat apaisé. Le besoin se fait sentir dans presque toutes les localités qui abritent un poste du Trésor, notamment dans l’intérieur du pays. Certains bâtiments sont en état de délabrement très avancé. Je peux vous donner l’exemple du poste comptable de Saint-Louis. Il y a d’autres postes comptables qui sont en chantier depuis plusieurs années, (Mbour, Podor, Matam)...", se plaint-il.
Selon le Dg du SUTT, ce service banquier de l’Etat "est aussi exposé à de l’insécurité au niveau de certains postes de comptables". "Ces derniers années, beaucoup de postes comptables du Trésor ont été attaqués. On a donné l’exemple de Linguére où il y a eu mort d’homme. Il y a aussi l’exemple où le percepteur a été trouvé chez lui, ligoté et un coffre-fort emporté. Depuis, aucun acte n’a été posé par les autorités allant dans le sens de renforcer la sécurité au niveau des postes comptable mais aussi au niveau du Trésor ici à Dakar", clame Madiahaté Niang.
"Déterminé à user de tous les moyens autorisés par la loi pour avoir gain de cause", le SUTT menace d’aller en grève, si rien n’est fait par les autorités.
Autres articles
-
Pour non-respect des engagements, deux immeubles appartenant à Doro Gaye et son épouse saisis
-
Affaire Prodac : les révélations du rapport de l'IGF
-
Kiréne/Diass : l'État a attribué par bail 143 hectares aux Ciments du Sahel
-
Matam : début du procès entre Dr Alioune Badara Mbacké et son ex-épouse Dieynaba Sangaré Ndiaye
-
Médias : les membres de la commission d’examen et de validation des entreprises de presse installés