Menacés d’expulsion dès ce 31 juillet 2019, les étudiants orientés dans les établissements privés du Sénégal réagissent. Ils préviennent qu’ils ne se laisseront pas faire et vont nationaliser le combat.
« On a vu que nous ne sommes pas bien considérés. On a vu que nous sommes des pions à tout instant. Des gens ne se soucient même pas de notre avenir. Sur ce, nous avons décidé de ne pas baisser nos bras, de prendre les choses en toute responsabilité », prévient le président de la fédération qui regroupe les étudiants du privé.
Ibrahima Gningue dit comprendre le cadre Unitaire des Organisations des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur du Sénégal (Cudopes) qui ont décidé de renvoyer : « les étudiants de l’Etat » : « Si l’Etat avait donné l’accord de payer les frais d’inscription de ses étudiants, en un moment donné, il n’a pas répondu à ce qu’il avait dit, la décision des directeurs d’écoles c’est de renvoyer les étudiants, parce qu’on ne peut pas garder les étudiants dans payer ».
Toutefois, ces étudiants comptent « saisir l’Association des parents d’élèves et étudiants du Sénégal ». « Nous leur avons demandé une implication par rapport à la situation. Nous avons essayé de saisir le mouvement « Y en a marre » également pour nationaliser le problème. Parce qu’on a constaté que beaucoup de gens ne sont pas au courant de ce qui se passe exactement », informent-ils.
Par cet acte, renseignent-ils, « nous voulons faire la division, faire des alertes à l’endroit de toute la population sénégalaise parce que si on passe à l’étape supérieur c’est parce que la situation nous a obligé ». Le Cudopes réclame le paiement d'une partie de la dette estimée à 8 milliards de F Cfa, une avance sur les 18 milliards que l'Etat doit à ses établissements privés, sous la menace de renvoyer les étudiants dès ce mercredi 2019.
« On a vu que nous ne sommes pas bien considérés. On a vu que nous sommes des pions à tout instant. Des gens ne se soucient même pas de notre avenir. Sur ce, nous avons décidé de ne pas baisser nos bras, de prendre les choses en toute responsabilité », prévient le président de la fédération qui regroupe les étudiants du privé.
Ibrahima Gningue dit comprendre le cadre Unitaire des Organisations des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur du Sénégal (Cudopes) qui ont décidé de renvoyer : « les étudiants de l’Etat » : « Si l’Etat avait donné l’accord de payer les frais d’inscription de ses étudiants, en un moment donné, il n’a pas répondu à ce qu’il avait dit, la décision des directeurs d’écoles c’est de renvoyer les étudiants, parce qu’on ne peut pas garder les étudiants dans payer ».
Toutefois, ces étudiants comptent « saisir l’Association des parents d’élèves et étudiants du Sénégal ». « Nous leur avons demandé une implication par rapport à la situation. Nous avons essayé de saisir le mouvement « Y en a marre » également pour nationaliser le problème. Parce qu’on a constaté que beaucoup de gens ne sont pas au courant de ce qui se passe exactement », informent-ils.
Par cet acte, renseignent-ils, « nous voulons faire la division, faire des alertes à l’endroit de toute la population sénégalaise parce que si on passe à l’étape supérieur c’est parce que la situation nous a obligé ». Le Cudopes réclame le paiement d'une partie de la dette estimée à 8 milliards de F Cfa, une avance sur les 18 milliards que l'Etat doit à ses établissements privés, sous la menace de renvoyer les étudiants dès ce mercredi 2019.
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