La situation des universités publiques, le protocole d’accord signé le 21 mars 2011 entre le gouvernement du Sénégal et le SAES, les nouveaux textes ou projets de textes réglementaires, les recommandations de la Concertation Nationale sur l’Avenir de l’Enseignement Supérieur (CNAES) d’avril 2013, ont été entre autres les différents points abordés par le SAES.
Ces enseignants du Supérieur ont par ailleurs constaté, après une analyse approfondie de la situation, l’asphyxie financière et le dénuement total dans lesquels le gouvernement maintient "volontairement" les universités publiques en refusant d’approuver leurs budgets, les énormes sommes d’argent du contribuable sénégalais qui sont, au même moment, injectées dans certains établissements privés d’enseignement supérieur, la persistance des conditions difficiles de travail des personnels d’enseignement et de recherche, des personnels administratif, technique et de service et des étudiants, mais aussi le gel des accords entre le gouvernement et leur syndicat.
Le syndicat d’enseignants a passé en revue l’absence de concertation de la tutelle sur les décisions majeures, l’usurpation par le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche des prérogatives des universités en violation des lois en vigueur dont celle relative aux franchises universitaires (loi 94-79) et le décalage entre les recommandations consensuelles de la CNAES et les directives du Conseil présidentiel.
A cet effet, dans un communiqué qui nous est parvenu, ils dénoncent avec force « l’asphyxie financière et volontaire des universités publiques au moment où sur des bases clientélistes et opaques, le gouvernement verse des milliards à une poignée d’établissements privés d’enseignement supérieur ». « La violation constante par le MESR de la loi 94-79 du 24 novembre 1994 relative aux libertés et franchises universitaires qui confère une autonomie scientifique et pédagogique aux universités, notamment en ce qui concerne la sélection de leurs futurs étudiants » et « les méthodes insidieuses du MESR conduisant à la reproduction, au niveau national, des mauvaises pratiques de gestion durant son passage comme recteur à l’UGB de Saint-Louis, mises à nu par différents rapports d’audit » ont également suscité leur indignation.
Le SAES qui a eu à observer plusieurs mouvements d’humeur n’a toutefois pas manqué de réaffirmer son attachement indéfectible à un système public d’enseignement supérieur de qualité.
Ces enseignants du Supérieur ont par ailleurs constaté, après une analyse approfondie de la situation, l’asphyxie financière et le dénuement total dans lesquels le gouvernement maintient "volontairement" les universités publiques en refusant d’approuver leurs budgets, les énormes sommes d’argent du contribuable sénégalais qui sont, au même moment, injectées dans certains établissements privés d’enseignement supérieur, la persistance des conditions difficiles de travail des personnels d’enseignement et de recherche, des personnels administratif, technique et de service et des étudiants, mais aussi le gel des accords entre le gouvernement et leur syndicat.
Le syndicat d’enseignants a passé en revue l’absence de concertation de la tutelle sur les décisions majeures, l’usurpation par le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche des prérogatives des universités en violation des lois en vigueur dont celle relative aux franchises universitaires (loi 94-79) et le décalage entre les recommandations consensuelles de la CNAES et les directives du Conseil présidentiel.
A cet effet, dans un communiqué qui nous est parvenu, ils dénoncent avec force « l’asphyxie financière et volontaire des universités publiques au moment où sur des bases clientélistes et opaques, le gouvernement verse des milliards à une poignée d’établissements privés d’enseignement supérieur ». « La violation constante par le MESR de la loi 94-79 du 24 novembre 1994 relative aux libertés et franchises universitaires qui confère une autonomie scientifique et pédagogique aux universités, notamment en ce qui concerne la sélection de leurs futurs étudiants » et « les méthodes insidieuses du MESR conduisant à la reproduction, au niveau national, des mauvaises pratiques de gestion durant son passage comme recteur à l’UGB de Saint-Louis, mises à nu par différents rapports d’audit » ont également suscité leur indignation.
Le SAES qui a eu à observer plusieurs mouvements d’humeur n’a toutefois pas manqué de réaffirmer son attachement indéfectible à un système public d’enseignement supérieur de qualité.
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