L’épidémie de la maladie de la dengue continue de s’étendre dans le pays. En effet, apparue il y a quelques semaines dans sa forme de type 3, le Sénégal a enregistré déjà 55 cas déclarés. Selon professeur Bernard Diop du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann qui s’exprimait hier vendredi à Dakar à l’occasion dune journée d’information sur la maladie ,” la dengue se manifeste par une forte fièvre(39 à 40), des maux de tête, des douleurs musculaires de la fatigue, de la diarrhée sanglante, etc”.
La maladie, dit-il, se transmet par la piqûre d’un moustique appelé Aèdes. La particularité de cet insecte réside au niveau de sa zone de développement « vases à fleurs , vieux pneus, abreuvoirs, déchets, récipients de réserve d’eau propre, récipients usagés abandonnés…” La dangerosité de ce moustique est également liée à sa capacité de piquer le jour comme de nuit . Surtout dans les zones urbaines ou péri urbaines .
Le Professeur Diop d’indiquer que “le traitement est surtout symptomatique et non curatif”. Il consiste à administrer du paracétamol aux patients jusqu’à ce que les douleurs se stabilisent. Toutefois, a précisé le Pr Diop la maladie a une forte incidence économique parce que “la convalescence nécessite 6 à 7 semaines” Pour les autorités en charge de la Prévention individuelle et collective du Sénégal, le seul moyen de faire face à la maladie c’est d’éliminer tous les endroits ou peuvent se développer le moustique.
Dans cette même perspective, Seyni Thiam du service national d’hygiène a précisé qu’en plus de cela , le Ministère de la Santé procédera dans le cadre “des mesures d’urgences de lutte contre les maladies à transmission vectorielle notamment la dengue, à une campagne de pulvérisation d’insecticides intra et extra domiciliaires sur le territoire de la région de Dakar”. Il est à signaler que cette campagne a démarré depuis hier vendredi dans l’après-midi Le Sénégal avait déjà connu plusieurs fois dans le passé la maladie de la dengue mais sous sa forme 2. Pour la première fois dans l’histoire c’est le type 3 de la maladie qui s’est déclaré dans le pays.
La maladie, dit-il, se transmet par la piqûre d’un moustique appelé Aèdes. La particularité de cet insecte réside au niveau de sa zone de développement « vases à fleurs , vieux pneus, abreuvoirs, déchets, récipients de réserve d’eau propre, récipients usagés abandonnés…” La dangerosité de ce moustique est également liée à sa capacité de piquer le jour comme de nuit . Surtout dans les zones urbaines ou péri urbaines .
Le Professeur Diop d’indiquer que “le traitement est surtout symptomatique et non curatif”. Il consiste à administrer du paracétamol aux patients jusqu’à ce que les douleurs se stabilisent. Toutefois, a précisé le Pr Diop la maladie a une forte incidence économique parce que “la convalescence nécessite 6 à 7 semaines” Pour les autorités en charge de la Prévention individuelle et collective du Sénégal, le seul moyen de faire face à la maladie c’est d’éliminer tous les endroits ou peuvent se développer le moustique.
Dans cette même perspective, Seyni Thiam du service national d’hygiène a précisé qu’en plus de cela , le Ministère de la Santé procédera dans le cadre “des mesures d’urgences de lutte contre les maladies à transmission vectorielle notamment la dengue, à une campagne de pulvérisation d’insecticides intra et extra domiciliaires sur le territoire de la région de Dakar”. Il est à signaler que cette campagne a démarré depuis hier vendredi dans l’après-midi Le Sénégal avait déjà connu plusieurs fois dans le passé la maladie de la dengue mais sous sa forme 2. Pour la première fois dans l’histoire c’est le type 3 de la maladie qui s’est déclaré dans le pays.
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