L’été dernier, Adrien Rabiot avait eu un avant goût de l’équipe de France. Appelé par Didier Deschamps pour jouer le rôle de réserviste, le milieu du Paris Saint-Germain avait dû se contenter de caresser au plus près le fol espoir de disputer l’Euro 2016. Quatre mois plus tard, le jeune joueur âgé de 21 ans a enfin pu exaucer son rêve : revêtir la tunique tricolore. Laissé sur le banc face à la Suède (2-1), Rabiot a profité du turnover décidé par Deschamps pour vivre sa première titularisation chez les A contre la Côte d’Ivoire à Lens (0-0).
Une grande première plutôt concluante, comme l’atteste la note de 6-10 que lui a décerné notre rédaction. Très serein malgré la pression d’une première, Rabiot aurait même pu marquer encore plus les esprits si sa tête croisée en début de match avait fait mouche (2e). Une soirée inoubliable pour le Francilien qui est d’ailleurs passé par tous les états : de l’euphorie d’un match réussi au regret de devoir céder sa place sur blessure en toute fin de rencontre. Un couac que l’intéressé ne veut pas retenir, même si ce pépin physique risque de le priver du choc Arsenal-PSG la semaine prochaine en Ligue des Champions.
Rabiot n’a pas ressenti de pression
« Il y a eu cette blessure, mais ce n’est pas ce que je vais retenir de cette semaine en bleu, ni du match de ce soir. J’étais tellement content et heureux de pouvoir honorer ma première sélection, de pouvoir revêtir ce maillot bleu. Je me sentais bien, j’ai fait un bon match. Je n’ai pas envie de retenir ma blessure. » Tout heureux et fier d’avoir pu fêter sa première cape chez les A, Rabiot espère désormais que cette convocation ne sera pas qu’un feu de paille malgré son jeune âge et qu’il pourra faire à nouveau partie de l’aventure bleue en mars prochain.
Pour ce faire, le milieu de terrain peut compter sur l’environnement du Paris Saint-Germain. Habitué aux exigences du très haut niveau en Ligue des Champions avec son club, Rabiot avoue que cet environnement l’a aidé à exister sur le terrain et donc à ne pas être écrasé par la pression d’une première en bleu. « La pression ? Pas forcément parce qu’en club on joue aussi des matches de haut niveau. C’est surtout le symbole. C’est vraiment fort (de porter le maillot bleu, ndlr). » Et Deschamps dans tout ça ? Logiquement interrogé sur la prestation des jeunes lancés ce soir, le sélectionneur a préféré ne pas s’enflammer. « Il ne faut pas juger trop rapidement les joueurs de ce soir. Les exigences du haut niveau sont très élevées mais je n’ai pas souvent l’occasion de faire ça. Cela me semblait opportun pour l’équipe. » Rabiot, Lemar & Co espèrent désormais que cette opportunité se représentera prochainement.
Une grande première plutôt concluante, comme l’atteste la note de 6-10 que lui a décerné notre rédaction. Très serein malgré la pression d’une première, Rabiot aurait même pu marquer encore plus les esprits si sa tête croisée en début de match avait fait mouche (2e). Une soirée inoubliable pour le Francilien qui est d’ailleurs passé par tous les états : de l’euphorie d’un match réussi au regret de devoir céder sa place sur blessure en toute fin de rencontre. Un couac que l’intéressé ne veut pas retenir, même si ce pépin physique risque de le priver du choc Arsenal-PSG la semaine prochaine en Ligue des Champions.
Rabiot n’a pas ressenti de pression
« Il y a eu cette blessure, mais ce n’est pas ce que je vais retenir de cette semaine en bleu, ni du match de ce soir. J’étais tellement content et heureux de pouvoir honorer ma première sélection, de pouvoir revêtir ce maillot bleu. Je me sentais bien, j’ai fait un bon match. Je n’ai pas envie de retenir ma blessure. » Tout heureux et fier d’avoir pu fêter sa première cape chez les A, Rabiot espère désormais que cette convocation ne sera pas qu’un feu de paille malgré son jeune âge et qu’il pourra faire à nouveau partie de l’aventure bleue en mars prochain.
Pour ce faire, le milieu de terrain peut compter sur l’environnement du Paris Saint-Germain. Habitué aux exigences du très haut niveau en Ligue des Champions avec son club, Rabiot avoue que cet environnement l’a aidé à exister sur le terrain et donc à ne pas être écrasé par la pression d’une première en bleu. « La pression ? Pas forcément parce qu’en club on joue aussi des matches de haut niveau. C’est surtout le symbole. C’est vraiment fort (de porter le maillot bleu, ndlr). » Et Deschamps dans tout ça ? Logiquement interrogé sur la prestation des jeunes lancés ce soir, le sélectionneur a préféré ne pas s’enflammer. « Il ne faut pas juger trop rapidement les joueurs de ce soir. Les exigences du haut niveau sont très élevées mais je n’ai pas souvent l’occasion de faire ça. Cela me semblait opportun pour l’équipe. » Rabiot, Lemar & Co espèrent désormais que cette opportunité se représentera prochainement.
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