C'est dans une eau de la rivière Hudson à à peine 6 degrés que l'Airbus A320 de la compagnie US Airways s'est posé en catastrophe.(Photo : Reuters)
Ici, on l’a déjà baptisé « le miracle de l’Hudson River », le pilote de l’avion est devenu en quelques heures un héros national. Le drame a failli se jouer au pied des tours de Manhattan, sous le regard des New-Yorkais, et devant des dizaines de caméras de télévision.
En milieu d’après-midi, un Airbus A320 décolle de l’aéroport de La Guardia. Quelques secondes plus tard, l’appareil entre en collision avec des oiseaux, vraisemblablement un vol d’oies sauvages.
Professionnalisme
Ce genre d’incident est fréquent, mais là, les volatiles paralysent les deux réacteurs. Le pilote tente de faire demi-tour, il comprend très vite qu’il ne parviendra pas à rejoindre l’aéroport. Il demande aux passagers de se préparer à l’impact, et puis il se pose sur l’eau.
« Il a utilisé le fleuve comme une piste d’atterrissage », racontent des témoins ébahis. C’était le seul moyen, partout ailleurs il y avait des immeubles et des zones très peuplées.
Il fait un froid glacial ces jours-ci à New York, et à peine plus de 6 degrés dans l’eau. Mais l’avion flotte, les passagers sortent par une porte ouverte, et attendent, debout sur les ailes. Très vite, les bateaux des alentours se portent à leur secours.
Quelques égratignures, quelques cas d’hypothermie, plus de peur que de mal en somme. En une heure à peine, les rescapés étaient à pied sec.
Source:RFI
En milieu d’après-midi, un Airbus A320 décolle de l’aéroport de La Guardia. Quelques secondes plus tard, l’appareil entre en collision avec des oiseaux, vraisemblablement un vol d’oies sauvages.
Professionnalisme
Ce genre d’incident est fréquent, mais là, les volatiles paralysent les deux réacteurs. Le pilote tente de faire demi-tour, il comprend très vite qu’il ne parviendra pas à rejoindre l’aéroport. Il demande aux passagers de se préparer à l’impact, et puis il se pose sur l’eau.
« Il a utilisé le fleuve comme une piste d’atterrissage », racontent des témoins ébahis. C’était le seul moyen, partout ailleurs il y avait des immeubles et des zones très peuplées.
Il fait un froid glacial ces jours-ci à New York, et à peine plus de 6 degrés dans l’eau. Mais l’avion flotte, les passagers sortent par une porte ouverte, et attendent, debout sur les ailes. Très vite, les bateaux des alentours se portent à leur secours.
Quelques égratignures, quelques cas d’hypothermie, plus de peur que de mal en somme. En une heure à peine, les rescapés étaient à pied sec.
Source:RFI
Autres articles
-
Cataclysme en Espagne: Valence et Letur ravagées par une «goutte froide» meurtrière
-
Inondations catastrophiques à Valence: l'Espagne entame un deuil national de trois jours
-
L'Ukraine prévoit de mobiliser 160 000 personnes pour regarnir son armée
-
Inondations en Espagne: plusieurs corps retrouvés dans la région de Valence
-
Liban: Naïm Qassem, «l’historien du Hezbollah», succède à Hassan Nasrallah à la tête du parti